« Le Colporteur (recueil)/Une soirée » : différence entre les versions

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|[[Le Rosier de Madame Husson (recueil)|Le Rosier de Madame Husson]]
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|'''Une soirée'''</br>''Gil Blas'', 29 mars 1887
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|[[La Confession (Maupassant)|La Confession]]
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Maître Saval, notaire à Vernon, aimait passionnément la musique. Jeune encore, chauve déjà, rasé toujours avec soin, un peu gros, comme il sied, portant un pince-nez d’or au lieu des antiques lunettes, actif, galant et joyeux, il passait dans Vernon pour un artiste. Il touchait du piano et jouait du violon, donnait des soirées musicales où l’on interprétait les opéras nouveaux.
 
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« Je n’ai plus mes habits. On me les a pris. » Il dut attendre, expliquer son cas, prévenir des amis, emprunter de l’argent pour se vêtir Il ne repartit que le soir. Et quand on parle musique chez lui, dans son beau salon de Vernon, il déclare avec autorité que la peinture est un art fort inférieur
 
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[[Catégorie:Contes et Nouvelles de Maupassant]]