« Page:Michaud - Poujoulat - Correspondance d’Orient, 1830-1831, tome 2.djvu/80 » : différence entre les versions

Borda (discussion | contributions)
 
Borda (discussion | contributions)
Aucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 10 : Ligne 10 :
<nowiki/>
<nowiki/>


J{{Sc|e}} vous ai dit dans ma précédente lettre, que nous
 étions établis dans un café de Lampsaque, et que
 nous attendions avec quelqu’impatience l’heure
 de notre dîner ; mais il est survenu un incident fâcheux : les habitans ont refusé de nous vendre des
provisions ; il a fallu que M. Poujoulat allât chez 
l’aga pour lever toute difficulté. L’aga de Lampsaque habite une immense baraque de bois dont
 les salles sont couvertes de peintures bleues, représentant la mer et ses rivages. M. Poujoulat, arrivé auprès de l’aga, a vu un homme d’une grosseur extraordinaire, ou plutôt une énorme boule
J{{Sc|e}} vous ai dit dans ma précédente lettre, que nous
 étions établis dans un café de Lampsaque, et que
 nous attendions avec quelqu’impatience l’heure
 de notre dîner ; mais il est survenu un incident fâcheux : les habitans ont refusé de nous vendre des
 provisions ; il a fallu que M. Poujoulat allât chez 
l’aga pour lever toute difficulté. L’aga de Lampsaque habite une immense baraque de bois dont
 les salles sont couvertes de peintures bleues, représentant la mer et ses rivages. M. Poujoulat, arrivé auprès de l’aga, a vu un homme d’une grosseur extraordinaire, ou plutôt une énorme boule