« Page:Ballin - Le Mahâbhârata, vol2.djvu/193 » : différence entre les versions

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 . Son visage, à demi dévoré par les carnassiers, ô mon ami Krishna, resplendit d’un très grand éclat, comme la lune au septième jour du mois.
 . Vois, ô Krishna, sur le champ (de bataille), dans quel état est la face du héros ! Pourquoi ce (prince) mon fils, tué parles ennemis, a-t-il mordu la poussière ?
 . Ô mon ami, commentée Dourmoukha qui (n’avait, jusque-là), pas rencontré (d’adversaire) qui pût lui tenir tête dans les combats, (a-t-il été) tué par les ennemis, (et a-t-il) conquis les mondes des dieux {{refl|2|num=2}} ?
 . Ô meurtrier de Madhou, vois Citrasena gisant à terre privé de vie ! Contemple ce Dhritarâshtride, le modèle des archers !
 . Dévorées de chagrin, de jeunes femmes en pleurs, ayant pour compagnie des bandes de bêtes féroces, entourent (ce prince, dont le corps est) orné de guirlandes brillantes.
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 . Ce jeune et très beau Vivimçati, (qui était) constamment servi par de belles femmes, git dans la poussière.
-L Vingt vautours l’ont entouré, et se tiennent sur le héros Vivimçati, dont la cuirasse a été brisée par des flèches et qui a péri dans ce massacre
+. Vingt vautours l’ont entouré, et se tiennent sur le héros Vivimçati, dont la cuirasse a été brisée par des flèches et qui a péri dans ce massacre
 . Ce brave, qui avait pénétré, pendant la bataille,