« Page:Désorgues - Voltaire, ou le Pouvoir de la philosophie, 1798.djvu/12 » : différence entre les versions
correction OCR |
modèles corr, métrifieur et nr |
||
En-tête (noinclude) : | En-tête (noinclude) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{nr||11}} |
|||
11 |
|||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
Hélas ! des sages même égarant la raison, |
{{métrifieur|Hélas ! des sages même égarant la raison, |
||
Dans la ville des arts il glissa son poison, |
Dans la ville des arts il glissa son poison, |
||
Là, s’enflant du venin de trois sectes parjures, |
Là, s’enflant du venin de trois sectes parjures, |
||
Ligne 28 : | Ligne 28 : | ||
Je ne la céderai qu’au vœu de ma patrie. |
Je ne la céderai qu’au vœu de ma patrie. |
||
Un jour dans ce couvent on viendra la chercher ; |
Un jour dans ce couvent on viendra la chercher ; |
||
A ce noble convoi je brûle de marcher : |
{{corr|A|À}} ce noble convoi je brûle de marcher :|sauf_premier=vrai}} |