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{{tiret2|re|cherche}} est impossible, tant la volupté suit de près le désir. Entouré de splendeur et de mort, je sens le bonheur trop présent et l’abandon à lui trop uniforme. Je me couche au milieu du jour pour tromper la longueur morne des journées et leur insupportable loisir. |
{{tiret2|re|cherche}} est impossible, tant la volupté suit de près le désir. Entouré de splendeur et de mort, je sens le bonheur trop présent et l’abandon à lui trop uniforme. Je me couche au milieu du jour pour tromper la longueur morne des journées et leur insupportable loisir. |
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J’ai là, voyez, des cailloux blancs que je laisse tremper à l’ombre, puis que je tiens longtemps dans le creux de ma main, jusqu’à ce qu’en soit épuisée la calmante fraîcheur acquise. Alors je recommence, alternant les cailloux, remettant à tremper ceux dont la fraîcheur est tarie. Du temps s’y passe, et vient le soir… Arrachez-moi d’ici ; je ne puis le faire moi-même. Quelque chose en ma volonté s’est brisé ; je ne sais même où j’ai trouvé la force de m’éloigner d’El Kantara. Parfois j’ai peur que ce que j’ai supprimé ne se venge. — Je voudrais recommencer à neuf. Je voudrais me débarrasser de ce qui reste de ma fortune ; voyez, ces murs en sont encore couverts… Ici je |
J’ai là, voyez, des cailloux blancs que je laisse tremper à l’ombre, puis que je tiens longtemps dans le creux de ma main, jusqu’à ce qu’en soit épuisée la calmante fraîcheur acquise. Alors je recommence, alternant les cailloux, remettant à tremper ceux dont la fraîcheur est tarie. Du temps s’y passe, et vient le soir… Arrachez-moi d’ici ; je ne puis le faire moi-même. Quelque chose en ma volonté s’est brisé ; je ne sais même où j’ai trouvé la force de m’éloigner d’El Kantara. Parfois j’ai peur que ce que j’ai supprimé ne se venge. — Je voudrais recommencer à neuf. Je voudrais me débarrasser de ce qui reste de ma fortune ; voyez, ces murs en sont encore couverts… Ici je |