« Page:Sully Prudhomme - Œuvres, Poésies 1865-1866.djvu/139 » : différence entre les versions
m Phe: split |
|||
| État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
| - | + | Page corrigée | |
| Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
| Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{brn|4}} |
|||
<br/> |
|||
{{T4|{{uc|Rencontre}}}} |
|||
{{brn|3}} |
|||
<poem> |
<poem> |
||
{{initiale|J}}{{sc|e}} ne te raille point, jeune prostituée ! |
|||
Tu vas l’œil provocant, le pied galant et prompt, |
Tu vas l’œil provocant, le pied galant et prompt, |
||
À travers le sarcasme et l’ignoble huée : |
|||
Ton immuable rire est plus fort que l’affront. |
Ton immuable rire est plus fort que l’affront. |
||
| Ligne 20 : | Ligne 20 : | ||
Qui voudra de mon cœur ? l’ange aimé se retire… |
Qui voudra de mon cœur ? l’ange aimé se retire… |
||
Sommes-nous donc voués au glacial délire |
Sommes-nous donc voués au glacial délire |
||
Du Désespoir pâmé sur la Faim dans la nuit ? |
Du Désespoir pâmé sur la Faim dans la nuit ?</poem> |
||