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« Page:Calloch - A Genoux.djvu/266 » : différence entre les versions

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{{Gauche|{{T|''À M. Paul Wiriath.''|120}}}}


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{{Droite|26 Mars 1917.|3}}


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{{Gauche|Monsieur le Directeur, |5}}

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''À M. Paul Wiriath.''

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::::::26 Mars 1917.

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:::Monsieur le Directeur,


C’est une fatalité. Il faut que je m’excuse d’avoir passé
C’est une fatalité. Il faut que je m’excuse d’avoir passé
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de détruire. L’Église était toute neuve, 1912. Ils l’ont fait
de détruire. L’Église était toute neuve, 1912. Ils l’ont fait
sauter en s’en allant. Seul, un grand Christ, sur un pan de
sauter en s’en allant. Seul, un grand Christ, sur un pan de
mur, demeure intact parmi les ruines. Et ce symbole m a
mur, demeure intact parmi les ruines. Et ce symbole m’a
plu. Cette église-la ressemble assez à l’Europe d’aujourd’hui.
plu. Cette église-là ressemble assez à l’Europe d’aujourd’hui.


Mais quand nous irons chez eux ! Maintenant, c’est
Mais quand nous irons chez eux ! Maintenant, c’est
absolument nécessaire que nous y allions, ne fut-ce que
absolument nécessaire que nous y allions, ne fut-ce que
pour leur faire payer cela, je n’ai jamais vu mes tranquilles
pour leur faire payer cela. Je n’ai jamais vu mes tranquilles
Bretons dans un pareil état de fureur et de dégoût. Les
Bretons dans un pareil état de fureur et de dégoût. Les
quelques Boches qui leur sont tombés sous k main s’en
quelques Boches qui leur sont tombés sous la main s’en
sont ressentis. Ils le méritaient. Ces gens-là sont de
sont ressentis. Ils le méritaient. Ces gens-là sont de
simples brutes.
simples brutes.
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Directeur, agréer l’expression de mes sentiments respectueux.
Directeur, agréer l’expression de mes sentiments respectueux.


:::::::J. CALLOC’H
{{Droite|J. CALLOC’H|3}}
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''À M. René Bazin.''
{{Gauche|{{T|''À M. René Bazin.''|120}}}}


::::::Le 27 Mars 1917.
{{Droite|Le 27 Mars 1917.|3}}


Monsieur, J’ai à peine commencé la lecture de
Monsieur, J’ai à peine commencé la lecture de
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