« Les Fleurs du mal (1861)/Les Phares » : différence entre les versions

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Toi qui sus ramasser la beauté des goujats,
Grand cœur gonflé d’orgueil, homme débile et jaune,
Puget, mélancolique empereur des forçats, ;
 
Watteau, ce carnaval où bien des cœurs illustres,
Comme des papillons, errent en flamboyant,
Décors frais et léger éclairés par des lustres
Qui versent la folie à ce bal tournoyant, ;
 
Goya, cauchemar plein de choses inconnues,