« Marie Tudor (Victor Hugo) » : différence entre les versions
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Bonjour, messieurs. Dieu vous ait en sa garde, mylords.
(à lord Montagu.)
Anthony Brown, je n’ oublie jamais que vous avez dignement tenu tête à Jean De Montmorency et au sieur de Toulouse
dans mes négociations avec l’empereur mon oncle. Lord Paget, vous recevrez aujourd’ hui vos lettres de baron Paget de Beaudesert en Stafford. Eh mais ! C’est notre vieil ami lord Clinton ! Nous sommes toujours votre bonne amie, mylord. C’est vous qui avez exterminé Thomas Wyat dans la plaine de Saint-James. Souvenons-nous-en tous, messieurs. Ce jour-là la couronne d’Angleterre a été sauvée par un pont qui a permis à mes troupes d’ arriver jusqu’aux rebelles, et par un mur qui a empêché les rebelles d’arriver jusqu’à moi. Le pont, c’est le pont de Londres. Le mur, c’est lord Clinton ! Lord Clinton, bas à Simon Renard.
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(à Simon Renard.)
Quand il sera ici depuis quelques minutes…
(elle lui parle bas à l’ oreille, et lui désigne la porte par laquelle Jane est sortie.)
Simon Renard.
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