« Marie Tudor (Victor Hugo) » : différence entre les versions

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L’ homme, seul.
La chose est bien arrangée ainsi. J’avais besoin de quelqu’un de jeune et de fort qui pût me prêter secours, s’il est nécessaire. Ce Gilbert est ce qu’il me faut. -ilIl me semble que j’entends un bruit de rames et de guitare sur l’eau. -ouiOui.
(Il va au parapet.)
 
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(Elle s’approche à chaque couplet.)
Quand tu ris, sur ta bouche
L’amour s’ épanouits’épanouit,
Et le soupçon farouche
Soudain s’évanouit !
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Ah ! Le rire fidèle
Prouve un cœur sans détours… -
EiezRiez, ma belle !
Riez toujours !
 
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Quand tu me dis : je t’aime !
Ô ma beauté ! Je croicrois !
Je crois que le ciel même
S’ ouvre au-dessus de moi !