« Marie Tudor (Victor Hugo) » : différence entre les versions
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Ligne 661 :
L’ homme, seul.
La chose est bien arrangée ainsi. J’avais besoin de quelqu’un de jeune et de fort qui pût me prêter secours, s’il est nécessaire. Ce Gilbert est ce qu’il me faut.
(Il va au parapet.)
Ligne 681 :
(Elle s’approche à chaque couplet.)
Quand tu ris, sur ta bouche
L’amour
Et le soupçon farouche
Soudain s’évanouit !
Ligne 687 :
Ah ! Le rire fidèle
Prouve un cœur sans détours… -
Riez toujours !
Ligne 701 :
Quand tu me dis : je t’aime !
Ô ma beauté ! Je
Je crois que le ciel même
S’ ouvre au-dessus de moi !
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