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28... DEIT, SPERED SANTEL ! ~ Kañn cloné-mat d’er blé neùê Nag en nandel ;-lšant-péùarzekvet blé gouclé Gañnedigeher Hriist ér hreu ; E1 penn er Peur én un taol cloh lenestr er becliz, diroll gere er horolleu ; El en tèr gonz ar er vangoer, é amzér koén-meur Balthazar ; El ul loer a ganv hag a lorh, dallet pep héol d’hé splannclér gouéù, A-us de zremùéleu diclalùé er Gate] Europ, Drem-goècl er Brezél Hag er Stéren vlaoahus e gilas én hé raog er stéred oll, guintacl betag sol en nozieu ; Hag el laborîeu ha chomel, de hortos clevé en Obèr-Meur ; VENI, SANCTE SPIRITUS ! Chant de bienvenue ã l’an nouveau Or, la mil-neuf-cent-quatorzième année après la naissance élu Christ dans l’étable ; Comme la tête du Pauvre tout à coup å la fenêtre des mondains, livrés aux danses déréglées ; Comme les trois paroles sur le mur, au temps clu grand souper de Balthazar, Comme une lune de deuil et de terreur, aveuglant chaque soleil de sa splendeur sauvage. Au-dessus des horizons méprisables de la Catin Europe, La Face sanglante de la Guerre ! Et devant l’Astre terrible reculèrent tous les astres, culbutés jusqu’au fond des nuits ; Et tous les travaux de cesser, pour attendre achèvement du Grand Œuvre ;