« Les Fleurs du mal/1857 » : différence entre les versions

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Mais le vice n’a point pour mère la science,
Et la vertu n’est pas fille de l’ignorance.
([[Agrippa d’Aubigné|T<small>HÉODORE</small> A<small>GRIPPA D’</small>A<small>UBIGNÉ</small>]], ''[[Les Tragiques]]'', liv. II.)
</poem><br>
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AU POÈTE IMPECCABLE<BR/>
Au poëte impeccable<br/>
AU PARFAIT MAGICIEN ÈS LANGUE FRANÇAISE<BR/>
Au parfait magicien ès lettres françaises<br/>
À MON TRÈS-CHER ET TRÈS-VÉNÉRÉ<BR/>
À mon très cher et très vénéré<br/>
MaîtreMAÎTRE etET amiAMI<brBR/>
THÉOPHILE GAUTIER<brBR/>
AVEC LES SENTIMENTS<BR/>
Avec les sentiments de la plus profonde humilité<br/>
DE LA PLUS PROFONDE HUMILITÉ<BR/>
Je dédie<br/>
JE DÉDIE<BR/>
Ces fleurs maladives<br/>
CES FLEURS MALADIVES<BR/>
C. B.
 
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