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exploitation de caoutchouc, où un bon ouvrier gagnait, à cette époque, cinq ou six piastres<ref>Environ {{unité|30|francs}}, paye qui s'élevait autrefois à {{unité|100|francs}}</ref> par jour, et pouvait espérer devenir patron, pour peu que la chance le favorisât ; mais Magalhaës lui fit justement observer que, si la paye était forte, on ne trouvait de travail dans les seringals qu’au moment de la récolte, c’est-à-dire pendant quelques mois seulement ce qui ne pouvait constituer une position stable, telle que le jeune homme devait la désirer. |
exploitation de caoutchouc, où un bon ouvrier gagnait, à cette époque, cinq ou six piastres<ref>Environ {{unité|30|francs}}, paye qui s'élevait autrefois à {{unité|100|francs}}</ref> par jour, et pouvait espérer devenir patron, pour peu que la chance le favorisât ; mais Magalhaës lui fit justement observer que, si la paye était forte, on ne trouvait de travail dans les seringals qu’au moment de la récolte, c’est-à-dire pendant quelques mois seulement ce qui ne pouvait constituer une position stable, telle que le jeune homme devait la désirer. |
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Magalhaës n'eut pas à se repentir de sa bonne action. Ses affaires se rétablirent. Son commerce de bois, qui, par l’Amazone, s’étendait jusqu’au Para, prit bientôt, sous l’impulsion de Joam Garral, une extension considérable. La fazenda ne tarda pas à grandir à proportion et se développa sur la rive du fleuve jusqu’à l’embouchure du Nanay. De l'habitation, on fit une demeure charmante, élevée d’un étage, entourée d’une véranda, à demi cachée sous de beaux arbres, des mimosas, des figuiers-sycomores, des bauhinias, des paullinias, dont le.trpnç |
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décidé à lui consacrer toutes ses forces. ’ , |
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disp.arais ; s i f|it„»ous ! un réseau de grenaâilles, de, |
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