« Le Blason d’après les sceaux du Moyen-Âge » : différence entre les versions

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{{pagination|13}}J’étudie dans ce mémoire l’origine des armoiries, la figure chronologique de l’écu, les supports, les cimiers, le volet et les lambrequins, les diverses formes d’écu, les premières brisures.
 
L’imagerie des sceaux nous a transmis un nombre considérable d’armoiries, et ces armoiries se recommandent non-seulement par une authenticité incontestable, mais encore par leur grande ancienneté. De tous les monuments qui pourraient nous éclairer sur l’origine du blason, il ne reste, ou du moins l’on ne connaît que les sceaux. Il était donc tout naturel et indispensable à la fois de les prendre pour base de ce travail. Je dois ajouter que les sceaux dont je vais invoquer le témoignage appartiennent presque tous aux grands feudataires ou aux seigneurs les plus marquants de notre pays. La question des blasons étrangers se trouve ainsi réservée.
{{pagination|4}}<div style="text-align:center;">''Origine des armoiries.''</div>
Les origines des armoiries tendent à se dégager chaque jour davantage des fables qui les obscurcissaient. Les témoignages fournis par les sceaux servent de base aux nouvelles théories<ref>Voy. A. de Barthélémy. ''Essai sur l'origine des armoiries féodales.'' (Extrait des mémoires de la Société des Antiquaires de l’Ouest, 1872.)</ref>.