« Les Fleurs du mal (1861)/« Je te donne ces vers afin que si mon nom » » : différence entre les versions

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Ta mémoire, pareille aux fables incertaines,
 
Fatigue le lecteur ainsi qu'unqu’un tympanon,
 
Et par un fraternel et mystique chaînon
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Reste comme pendue à mes rimes hautaines;
 
Etre maudit à qui, de l'abîmel’abîme profond
 
Jusqu'auJusqu’au plus haut du ciel, rien, hors moi, ne répond!
 
- O toi qui, comme une ombre à la trace éphémère,
 
Foules d'und’un pied léger et d'und’un regard serein
 
Les stupides mortels qui t'ontt’ont jugée amère,
 
Statue aux yeux de jais, grand ange au front d'airaind’airain!