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[[Image:Verne_-_Les_Tribulations_d’un_Chinois_en_Chine_-_216.png|thumb|450px|{{c|« Tu as offensé Bouddha ! » (Page 197.)}}]]
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Kin-Fo était dans les bras de Wang, qui le pressait fortement sur sa poitrine.
Kin-Fo était dans les bras de Wang, qui le pressait fortement sur sa poitrine.
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« Mon pauvre Wang, disait Kin-Fo, très ému, si encore j’avais couru tout seul ! Mais quel mal je t’ai donné ! Combien il t’a fallu courir toi-même, et quel bain je t’ai forcé de prendre au pont de Palikao !
« Mon pauvre Wang, disait Kin-Fo, très ému, si encore j’avais couru tout seul ! Mais quel mal je t’ai donné ! Combien il t’a fallu courir toi-même, et quel bain je t’ai forcé de prendre au pont de Palikao !


Ah ! celui-là, par exemple, répondit Wang en riant, il m’a fait bien peur pour mes cinquante-cinq ans et pour ma philosophie ! J’avais très chaud et l’eau était très froide ! Mais bah ! je m’en suis tiré ! On ne court et on ne nage jamais si bien que pour les autres !
Ah ! celui-là, par exemple, répondit Wang en riant, il m’a fait bien peur pour mes cinquante-cinq ans et pour ma philosophie ! J’avais très chaud et l’eau était très froide ! Mais bah ! je m’en suis tiré ! On ne court et on ne nage jamais si bien que pour les autres !