« Page:Œuvres de Blaise Pascal, VI.djvu/188 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 2 : | Ligne 2 : | ||
mencent mesme à remplir leurs livres, que les |
mencent mesme à remplir leurs livres, que les Jansenistes |
||
ne croyent pas l'invocation des Saints, qu'ils ne veulent point |
ne croyent pas l'invocation des Saints, qu'ils ne veulent point |
||
d'Images, qu'ils n'approuvent pas le Chapelet, et qu'ils ne |
d'Images, qu'ils n'approuvent pas le Chapelet, et qu'ils ne |
||
Ligne 28 : | Ligne 28 : | ||
____________________________________________________________ |
____________________________________________________________ |
||
Pere. Et pour prouver cette impudente calomnie, ils mettent à la marge. ''Voyez les règles de l'establisssement des filles'' ''du S. Sacrement imprimées''. Qui est un livre qui ne fut jamais » (''note d' Arnauld'') [p. 204]- — U Analyste était attribuée au Père Seguin. A cette époque, les Constitutions de Port-Royal n'avaient pas encore été imprimées. |
|||
1 . « Le P. d'Anjou Jésuite preschant à S. Benoist le 8. de Mars dernier [1655] avança en pleine chaire cette estrange calomnie : Qu'il sçavoit de science certaine que les aumosnes publiques qu'on avoit recueillies pour les pauvres de Champagne et de Picardie avoient esté employées pour la |
1 . « Le P. d'Anjou Jésuite preschant à S. Benoist le 8. de Mars dernier [1655] avança en pleine chaire cette estrange calomnie : Qu'il sçavoit de science certaine que les aumosnes publiques qu'on avoit recueillies pour les pauvres de Champagne et de Picardie avoient esté employées pour la |