« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Hôtel-Dieu » : différence entre les versions
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pendant les XII<sup>e</sup> et XIII<sup>e</sup> siècles.
<span id=Ourscamps1>Dans les bâtiments abbatiaux de Saint-Jean-des-Vignes de Soissons et
d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes O#Ourscamps|Ourscamp]], on voit encore de belles salles qui ont été affectées aux
malades. La salle dite <i>des Morts</i>, à [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes O#Ourscamps|Ourscamp]], est, entre toutes ces
constructions hospitalières, la plus belle et la mieux entendue. C'est
toujours un grand vaisseau divisé en trois nefs, celle du milieu plus large
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possédaient ainsi des bâtiments assez vastes pour donner asile aux
voyageurs, ou même de véritables hôpitaux, comme cette grande salle
d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes O#Ourscamps|Ourscamp]]<span id="note14"></span>[[#footnote14|<sup>14</sup>]].
</div>
[[Image:Illustration_fig4_6_115.png|center|500px]]
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MM. Verdier et Cattois, t. II, p. 104.
<span id="footnote14">[[#note14|14]] : L'abbaye d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes O#Ourscamps|Ourscamp]] appartient aujourd'hui à M. Peigné-Delacour, qui, heureusement, conserve avec un soin particulier ces restes remarquables.
<span id="footnote15">[[#note15|15]] : <i>Notes hist. sur l'hôpital de Tonnerre</i>. Auxerre, 1853.
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