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Maintenant on partage l’horizon en trente-deux parties appelées ''rhumbs'' ou ''aires'' des vents, que l’on obtient en divisant en deux parties égales chacun des cadrans formés par les points cardinaux, et l’on désigne ces divisions intermédiaires par les réunions des points cardinaux entre lesquels elles sont comprises. On procède ensuite de la même façon à l’égard de ces dernières divisions, que l’on partage en deux, adoptant le même système de nomenclature.
Maintenant on partage l’horizon en trente-deux parties appelées ''rhumbs'' ou ''aires'' des vents, que l’on obtient en divisant en deux parties égales chacun des cadrans formés par les points cardinaux, et l’on désigne ces divisions intermédiaires par les réunions des points cardinaux entre lesquels elles sont comprises. On procède ensuite de la même façon à l’égard de ces dernières divisions, que l’on partage en deux, adoptant le même système de nomenclature.
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Fig. 33. — Les vents personnifiés. (Bas-relief antique.)
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Ce n’est qu’en avançant vers la mer équinoxiale que on rencontre dans les vents une constance, une régularité qui se prête à l’observation. Dans ces contrées, ils soufflent toute l’année dans la même direction, et transportent doucement et sans violence les navires de la cote de l’ancien monde à celle du nouveau.
Ce n’est qu’en avançant vers la mer équinoxiale que on rencontre dans les vents une constance, une régularité qui se prête à l’observation. Dans ces contrées, ils soufflent toute l’année dans la même direction, et transportent doucement et sans violence les navires de la cote de l’ancien monde à celle du nouveau.