« Pour le troisième centenaire de la naissance de Descartes » : différence entre les versions

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Où pourra la pensée asseoir son édifice,
Tour de bronze où le Vrai veille éternellement.
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==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1897 - tome 139.djvu/167]]==
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Quelle étrange odyssée avait longtemps fournie
La raison confiante en ces traîtres appuis,
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Témoin persévérant que pénètre et dépasse
Quelque chose d’immense impossible à nier,
</poem>
 
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1897 - tome 139.djvu/168]]==
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Descartes, c’est ton être, où point ta conscience
Qui le nomme à lui-même et l’impose à ta foi.
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Vois rebondir plus prompt et, renouant sa ronde,
Tourbillonner l’atome, appui de l’Univers !
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==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1897 - tome 139.djvu/169]]==
<poem>
Je t’envie humblement le merveilleux poème
Où, pour douer l’esprit d’un infaillible essor,