« La Vie de M. Descartes/Livre 2/Chapitre 6 » : différence entre les versions

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==__MATCH__:[[Page:Baillet - La Vie de monsieur Des-Cartes, première partie.djvu/185]]==
 
Le grand monde que M Descartes voyoit à Paris
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proposez à résoudre. Mais on peut dire qu’elles
étoient déja tombées en 1623, s’il est vrai qu’en
1638, '' il y avoit plus de quinze ans qu’il faisoit profession de négliger la géométrie, et
==[[Page:Baillet - La Vie de monsieur Des-Cartes, première partie.djvu/186]]==
de ne plus s’arrêter jamais à la solution d’aucun problême, qu’à la priére de quelque ami ''
.
 
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insensiblement de l’usage de nôtre raison : et nous
expose à perdre
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la route que sa lumiére nous trace.
 
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des siécles posterieurs. Il appercevoit quelques
traces de la véritable mathématique
==[[Page:Baillet - La Vie de monsieur Des-Cartes, première partie.djvu/188]]==
dans Pappus et dans Diophante, qui certainement n’en
avoient pas été les prémiers inventeurs. Mais il ne
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nom de '' mathesis ''
où de
mathématique universelle ; puis qu’elle renferme toutu
==[[Page:Baillet - La Vie de monsieur Des-Cartes, première partie.djvu/189]]==
niverselle ; puis qu’elle renferme tout
ce qui peut faire mériter le nom de science et de
mathématique particuliére aux autres connoissances.
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déclare, comme un homme persuadé de ce qu’il avance,
que
la connoissance qu’il avoit bien ou mal acquise deav
==[[Page:Baillet - La Vie de monsieur Des-Cartes, première partie.djvu/190]]==
oit bien ou mal acquise de
la physique, lui avoit beaucoup servi pour établir
des fondemens certains dans la morale : et qu’il lui
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Limousine, qui est au delà de l’isle Jourdain sur
les limites du Poictou et du Limousin. Pour
==[[Page:Baillet - La Vie de monsieur Des-Cartes, première partie.djvu/191]]==
ce qui est de la terre et seigneurie du '' perron ''
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