« Page:Lemerre - Anthologie des poètes français du XIXème siècle, t4, 1888.djvu/33 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 22 : | Ligne 22 : | ||
Et devant ta présence épouvantable, ô Mort ! |
Et devant ta présence épouvantable, ô Mort ! |
||
Trouvant les voluptés de la vie insipides, |
Trouvant les voluptés de la vie insipides, |
||
Je songe qu’aucun but ne |
Je songe qu’aucun but ne vaut aucun effort. |
||
</poem> |
</poem> |
||
<br /> |
<br /> |
||
Ligne 33 : | Ligne 33 : | ||
{{Lettrine|J|lignes=2}}{{sc|e}} n’ai gardé de |
{{Lettrine|J|lignes=2}}{{sc|e}} n’ai gardé de toi, ma mère, douce morce, |
||
— Oh ! si douce ! — qu’un vieux portrait où l’on te voit |
— Oh ! si douce ! — qu’un vieux portrait où l’on te voit |
||
Accoudée, appuyant |
Accoudée, appuyant ta tempe sur ton doigt, |
||
Comme pour comprimer une peine trop forte. |
Comme pour comprimer une peine trop forte. |
||
</poem> |
</poem> |