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X I X e S I È C L 1 |
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n’est plus douloureux qu’un tombeau solitaire |
Rien n’est plus douloureux qu’un tombeau solitaire |
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Où jamais un |
Où jamais un ami ne vient, le cœur en deuil. |
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Oh ! comme il doir sentir, celui qui git sous terre, |
Oh ! comme il doir sentir, celui qui git sous terre, |
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L’un versel oubli peser sur son cercueil ! |
L’un versel oubli peser sur son cercueil ! |
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( ii:!CSOC^ TRISTE |
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Elles sont Dieu sait où. |
Elles sont Dieu sait où. |
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Roses de mai fleuries |
Roses de mai fleuries |
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S’effeuillent... et c’est tout. |
S’effeuillent... et c’est tout. |
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Où sont donc à cette heure |
Où sont donc à cette heure |
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Mes gaités d’autrefois? |
Mes gaités d’autrefois ? |
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— Demande au vent qui pleure, |
— Demande au vent qui pleure, |
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En hiver, dans les bois. |
En hiver, dans les bois. |
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Que fait l’an qui s’envole |
Que fait l’an qui s’envole |
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De chaque espoir défunt? |
De chaque espoir défunt ? |
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— Demande au vent qui vole |
— Demande au vent qui vole |
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À la fleur son parfum. |
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Las ! je ne sais pas même |
Las ! je ne sais pas même |
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Ou sont allés mes chants ! |
Ou sont allés mes chants ! |
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— Demande au vent qui sème |
— Demande au vent qui sème |
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Les graines dans les champs. |
Les graines dans les champs. |
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Ma vie, où s’en va-t-elle?... |
Ma vie, où s’en va-t-elle ?... |
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Dans un triste chemin : |
Dans un triste chemin : |
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L’espérance immortelle |
L’espérance immortelle |
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La conduit par la main. |
La conduit par la main. |
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