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+<poem style="margin-left:7em; font-size:100%">
-J EAN AJALBERT. } I I
-Il était une fois, 6 srué,
+Il était une fois, ô gué,
 Un cœur si neuf, ô gué, ma mie,
 Qu’il n’avait jamais navigué,
 Jamais navigué de sa vie.
+</poem>
-(Paysages de Femmes)
+<br />
-C’est la Vanité du Demain,
+{{d|''<small>(Paysages de Femmes)</small>''|6}}
+<br />
+{{—}}
+<br /><br />
+<center>*</br>* &nbsp; &nbsp; &nbsp; *</center>
+<poem style="margin-left:7em; font-size:100%">
+{{Lettrine|C|lignes=2}}{{sc|’est}} la Vanité du Demain,
 L’effritement de la Matière :
 Deux mains qui se « serrent la main »
 Sur un marbre du cimetière.
 Qui dira le tertre glacé,
 Sous lequel dort votre âme blanche,
 Et si l’œil cher d’un fiancé
 Suivit votre cercueil de planche,
 Vierge fatale, dont la mort
 Plongea le secret dans la terre,
 Vous dont la main étreint si fort
-Une main close de mystère?
+Une main close de mystère ?
 C’est la Vanité du Demain,
 L’effritement de la Matière :
 Deux mains qui se « serrent la main »
 Sur un marbre du cimetière...
+</poem>
-(Paysages de Femmes)
+<br />
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+{{d|''<small>(Paysages de Femmes)</small>''|6}}
+<br />
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