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{{personnage|STREPSIADÈS.|c}} Non, non, pas de ce dieu des chevaux ! C’est lui qui est la cause de mes malheurs. Mais si tu m’aimes réellement et de tout cœur, ô mon enfant, suis mon conseil. |
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{{personnage|PHILIPPIDÈS.|c}} Et en quoi faut-il que je suive ton conseil ? |
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{{personnage|STREPSIADÈS.|c}} Change au plus tôt de conduite, et va prendre des leçons où je t’indiquerai. |
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{{personnage|PHILIPPIDÈS.|c}} Parle, qu’ordonnes-tu ? |
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{{personnage|STREPSIADÈS.|c}} Et tu obéiras ? |
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{{personnage|PHILIPPIDÈS.|c}} J’obéirai, j’en jure par Dionysos. |
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{{personnage|STREPSIADÈS.|c}} Regarde de ce côté. Vois-tu cette petite porte et cette petite maison ? |
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{{personnage|PHILIPPIDÈS.|c}} Je les vois ; mais, mon père, qu’est-ce que cela veut dire ? |
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{{personnage|STREPSIADÈS|c}} |
{{personnage|STREPSIADÈS.|c}} C’est le philosophoir des âmes sages. Là sont logés des hommes qui disent et démontrent que le ciel est un étouffoir, dont nous sommes entourés, et nous, des charbons. |