« Trois Contes (Flaubert)/La Légende de Saint Julien l’Hospitalier » : différence entre les versions
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Il tendait sa main aux cavaliers sur les routes, avec des génuflexions s'approchait des moissonneurs, ou restait immobile devant la barrière des cours ; et son visage était si triste que jamais on ne lui refusait l'aumône.
Par esprit d'humilité, il racontait
Repoussé de partout, il évita les hommes ; et il se nourrit de racines, de plantes, de fruits perdus, et de coquillages qu'il cherchait le long des grèves.
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