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blêmes relatifs aux dissolutions; Desormes et Clément, Laplace,
blêmes relatifs aux dissolutions ; Desormes et Clément, Laplace,
Poisson, Sadi Garnot, Glapeyron, l’emploient constamment dans
Poisson, Sadi Carnot, Glapeyron, l’emploient constamment dans
leurs raisonncmens et dans leurs calculs ; en 1840, Hess le place
leurs raisonncmens et dans leurs calculs ; en 1840, Hess le place
à la base de la thermochimie ; Mayer lui-même rapplique, sans
à la base de la thermochimie ; Mayer lui-même rapplique, sans
l’énoncer, dans le mémoire où il pose la première loi de la ther-
l’énoncer, dans le mémoire où il pose la première loi de la thermodynamique.
modynamique.


C’est ce principe, regardé par tous comme la base la plus
C’est ce principe, regardé par tous comme la base la plus
ferme de la théorie de la chaleur, que vient saper la loi de l’équi-
ferme de la théorie de la chaleur, que vient saper la loi de l’équivalence entre la chaleur et le travail; c’est ce principe que Clausius déclare inadmissible ; lorsqu’un corps passe d’un état à
valence entre la chaleur et le travail; c’est ce principe que Clau-
sius déclare inadmissible; lorsqu’un corps passe d’un état à
l’autre, la quantité de chaleur qu’il absorbe dépend du travail
l’autre, la quantité de chaleur qu’il absorbe dépend du travail
accompli, durant la modification, par les forces extérieures et,
accompli, durant la modification, par les forces extérieures et,
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pris dans un état donné, renferme une quantité déterminée de
pris dans un état donné, renferme une quantité déterminée de
chaleur ; car, si on le ramène à cet état après lui avoir fait subir
chaleur ; car, si on le ramène à cet état après lui avoir fait subir
une série de modifications, il aura en général, durant ces modi-
une série de modifications, il aura en général, durant ces modifications, absorbé plus de chaleur qu’il n’en aura dégagé, ou
fications, absorbé plus de chaleur qu’il n’en aura dégagé, ou
dégagé plus de chaleur qu’il n’en aura absorbé ; on peut encore
dégagé plus de chaleur qu’il n’en aura absorbé; on peut encore
parler de la quantité de chaleur qu’un corps absorbe ou dégage
parler de la quantité de chaleur qu’un corps absorbe ou dégage
tandis qu’il subit une transformation déterminée; mais on ne
tandis qu’il subit une transformation déterminée ; mais on ne
peut plus parler de la ''quantité de chaleur que renferme un corps''
peut plus parler de la ''quantité de chaleur que renferme un corps''
pris dans un état donné; désormais, ces mots sont vides de sens.
pris dans un état donné ; désormais, ces mots sont vides de sens.
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