« Page:Revue des Deux Mondes - 1829 - tome 1.djvu/447 » : différence entre les versions

Phe-bot (discussion | contributions)
m Typographie
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
<nowiki/>
Letters from the Western States of.America. — fettres écrites des États de l’Ouest de l’Amérique, par l’honorable Juge Hall, in-8°.

''Letters from the Western States of America''. — Lettres écrites des États de l’Ouest de l’Amérique, par l’honorable Juge Hall, in-8°.


Londres (12 sh.).
Londres (12 sh.).


Lorsque les Anglais menaçaient la Nouvelle-Orléans, en 1815, le général Jakson, à qui la défense de cette ville était confiée, ne vit d’autre moyen de déjouer les complots des mécontens qu’elle renfermait, qu’en y proclamant la loi martiale. Cette mesure, dont les évènemens prouvèrent l’indispensable nécessité, donna lieu à un confit entre le pouvoir civil et le pouvoir militaire ; et M. Hall, un des juges de la cour suprême, se distingua surtout par son opposition Jakson, dont le temps était trop précieux pour le perdre en vaines disputes, le fit arrêter et l’envoya hors de la ville. Après la paix, ce magistrat, de retour à la Nouvelle-Orléans, appela le sauveur de la patrie à son tribunal, et le condamna à une amende de mille dollars pour désobéissance aux lois. M. Hall est moins un bon patriote, et l’ouvrage qu’il vient de publier ne manque pas, d’un certain mérite littéraire. II renferme une description fort exacte des États de l’Ouest, quantité de faits curieux sur les premiers établissemens de cette partie de l’Union, et un tableau piquant des mœurs et coutumes de ses habitans.


<small>xxxxxxxxxx</small><br />


{{taille|Lorsque les Anglais menaçaient la Nouvelle-Orléans, en 1815, le général Jakson, à qui la défense de cette ville était confiée, ne vit d’autre moyen de déjouer les complots des mécontens qu’elle renfermait, qu’en y proclamant la loi martiale. Cette mesure, dont les évènemens prouvèrent l’indispensable nécessité, donna lieu à un confit entre le pouvoir civil et le pouvoir militaire ; et M. Hall, un des juges de la cour suprême, se distingua surtout par son opposition Jakson, dont le temps était trop précieux pour le perdre en vaines disputes, le fit arrêter et l’envoya hors de la ville. Après la paix, ce magistrat, de retour à la Nouvelle-Orléans, appela le sauveur de la patrie à son tribunal, et le condamna à une amende de mille dollars pour désobéissance aux lois. M. Hall est moins un bon patriote, et l’ouvrage qu’il vient de publier ne manque pas, d’un certain mérite littéraire. II renferme une description fort exacte des États de l’Ouest, quantité de faits curieux sur les premiers établissemens de cette partie de l’Union, et un tableau piquant des mœurs et coutumes de ses habitans.|90}}
''Histoire de la Législation ancienne'', par M. le marquis de Pastoret, pair de France, 8e et 9e volume.



''Histoire de la Législation ancienne'', par M. le marquis de Pastoret, pair de France, 8{{e}} et 9{{e}} volume.


Treuttel et Wurtz, rue de Bourbon.
Treuttel et Wurtz, rue de Bourbon.


Cet ouvrage, dont la réputation est faite, jouit d’un aussi éminent succès en Allemagne et en Angleterre qu’en France.


<small>xxxxxxxxxx</small><br />


{{taille|Cet ouvrage, dont la réputation est faite, jouit d’un aussi éminent succès en Allemagne et en Angleterre qu’en France.|90}}
N.


{{séparateur}}