« Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges. Tome I » : différence entre les versions
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==ALBANI-ALESME, p. 26==
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S<small>OURCES :</small> ''Gallia christiana nov''., T. II, col. 682 ; – B<small>ALUZE</small>, ''Histoire de la maison d’Auvergne'', T. II, p. 604.
'''ALÈGRE''',
'''ALESME'''.
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[Guillaume d’Alesme, conseiller-doyen et garde des. sceaux du parlement de Guyenne, marié avec Catherine Des Cars de Merville, fut père de Marie d’Alesme, alliée avec Charles d’Alogny, S{{exp|gr}} de La Roffie.]
Henri d’Alesme, écuyer,
Jacques-Urbain Dalesme S{{exp|r}} de Voultret, épousa (1766) Anne Chapelle de Jumilhac.
Jean-Marie d’Alesme, écuyer,
Pierre Dalesme, chevalier,
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Jean-Claude d’Auboust,
'''AUBUSSON'''. – [Les vicomtes d’Aubusson tirent leur nom de la ville d’Aubusson dans la Marche, dont ils étaient anciennement vicomtes. Cette maison, de laquelle sont sortis un grand-maître de Rhodes et cardinal, un archevêque d’Embrun et évêque de Metz, un évêque de Limoges, deux de Tulle, un de Conserans, un abbé de Saint-Martial. de Limoges, deux Maréchaux ducs et pairs de France, un commandeur et un chevalier du Saint-Esprit, est l’une de celles dont on prouve le mieux l’ancienneté, puisque par des titres elle parait déja illustre dès la fin du ixe siècle, où Ranulphe, frère aîné de Turpin ou Turpion, évêque de Limoges en 898, fut établi vicomte de cette partie du Limousin qu’on appelle la Marche par le roi Eudes, en 888 ({{refl|3}}). (Tabl. hist.,
La Feuillade ({{refl|4}}) est une seigneurie de l’ancien domaine des vicomtes d’Aubusson, qui fut donnée en partage, dans le xiiie siècle, avec celles de La Borne et de Monteil-au-Vicomte, à Ranulfe, deuxième fils de Reynaud VI. (Ibid., p. 301,)]
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:{{refa|1}} Dans l’Art de vérifier les dates, les bénédictins font Geofroi premier comte, non de la Marche mais de. Charroux, en… C’eat Boson
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Renaud VI et sa femme prenaient un insigne plaisir a la poésie provençale : ils gardèrent longtemps chez eux un de ces poètes, nommé Gui d’Uzez, son frère Pierre et leur cousin Elie, qu’ils récompensèrent largement. Gui le troubadour mourut en 1230.
XII. – Gui, deuxième du nom, qualifié vicomte d’Aubusson, vivait en 1260 ; il était chevalier en 1225 ; il épousa Ahci ou Ahaci, dont il eut 1° Raynaud, septième du nom, qu’on dit avoir vendu la vicomté d’Aubusson ; 2° Alengarde d’Aubusson, dame de Massignat, mariée : 1°, l’an 1262, à Erric de Beaujeu,
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<div style="text-align:center;">''Branche des segneurs de La Borne, qui est la première baronnie de la Marche.''</div>
XII. – Ranulfe d’Aubusson, fils puiné de Renaud,. vicomte d’Aubusson, fut
Il épousa Séguine de Pierrebuffière, dont 1° Raynaud d’Aubusson,
XIII. – Raynaud d’Aubusson, S{{exp|gr}} de La Borne, que l’on dit avoir vendu la vicomté d’Aubusson à Hugues, comte de la Marche, épousa, en 1275, Dauphine de La Tour, fille de Bernard, septième du nom, S{{exp|gr}} de La Tour d’Auvergne et de sa femme Goland. Bertrand de La Tour, chanoine de Clermont, oncle de Dauphine, lui donna, dans son testament de 1280, son château de Rota. Ramnulfe, père de Raynaud, donna quittance de 10,000 sols tournois de la dot de Dauphine, le vendredi après la Purification de la sainte Vierge, en 1275 (vieux style) : le sceau de Ramnulfe est au bas de l’acte.
Dauphine épousa., en secondes noces, l’an 1285, Aymeric de La Roche, damoiseau, qu’on dit
Du premier mariage elle eut : 1 ° Guillaume d’Aubusson, S{{exp|gr}} de La Borne ; 2° Géraud d’Aubusson.
XIII bis. – Guillaume d’Aubusson, chevalier,
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deuxième du nom, qui suit ; 2° Raynaud, qui a fait la branche des seigneurs du Monteil-au-Vicomte ; 3° Guillaume, chevalier, duquel descendent les seigneurs et ducs de La Feuillade, lui-même étant
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XVII. – Jean d’Aubusson, deuxième du nom, chevalier,
XVIII. – Jean d’Aubusson, troisième du nom, S{{exp|gr}} de La Borne, du Doignon et d’Aleirac, chambellan du roi, vivait en 1463, était mort en 1471.
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Il épousa, par contrat du 22 juin 1432, Agnès, dame de Champaignolle, fille d’Oliver, S{{exp|gr}} de Saint-George, et de Catherine de Rochechouart, qui vivait en 1478.
Il eut de cette femme : 1° Jacques, qui suit ; 2° Pierre, prieur de Boubiac en 1487 ; 3° Gui dit Guinot, prieur de Blessac et de La Villedieu, 1509 ; 4° Marguerite, alliée, le 6 juillet 1464, à André Foucault,
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XVI. – (Le P. Anselme, édité par le P. Simplicien, ne commence qu’ici la généalogie des d’Aubusson de Poux, et avec des numéros distincts, parce qu’ils ne les voit pas clairement se rattacher a la souche.)
I. – Ayrnar d’Aubusson,
II. – Guillaume d’Aubusson dit ''Carados'', S{{exp|gr}} de Poux, fut institué héritier d’Evard, S{{exp|gr}} de Banson, à condition d’en porter le nom et les armes, et mourut vers l’an 1465.
Il épousa, en 1437, Gabrielle du Pui de Vatan, fille de Louis,
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d’Aubusson, alliée a Jacques de Rochedragon,
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XVII. – Guillaume d’Aubusson, troisième fils de Jean, premier du nom, S{{exp|gr }}de La Borne, et de Guyonne de Monteruc, eut en partage la seigneurie de La Feuillade et de Faux. Il vivait en 1473.
Il avait épousé, en 1420, Marguerite Hélie, fille de Gulfier,
XVIII. – Louis d’Aubusson, S{{exp|gr }}de La Foulhade, né en 1440, fut gouverneur de Guise, en 1483, pour Jean d’Armagnac, duc de Nemours, comte de Guise.
Il épousa, le 28 décembre 1473, Catherine de Rochechouart, fille de Geoffroi,
XIX. – Jean d’Aubusson, chevalier,
Il épousa, en 1506, Jeanne, dame du Vouhet, du ressort de Montmorillon en Poitou. Elle était fille unique de Jean,
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XXII. – Georges d’Aubusson, comte de La Feuillade, chevalier de l’ordre du roi, conseiller en ses conseils d’Etat et privé, capitaine de cinquante hommes d’armes de ses ordonnances, maréchal de camp, nommé à l’ordre du Saint–Esprit, sénéchal de la Haute et Basse-Marche, lieutenant des chevau-légers de la garde de la reine Marie de Médicis, etc., en faveur duquel la baronnie de La Feuillade fut érigée en comté par lettres du mois de novembre 1615, demeurait au bourg de Voicet en la Marche. Il mourut, en 1628, a Grenoble.
Il épousa : 1°, le 21 mai 1595, Jacqueline de Lignières, morte en février 1610, fille d’Antoine,
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Le 15 septembre suivant, le parlement de Toulouse déclara, à la réquisition du procureur général, tous les biens de La Feuillade acquis et confisqués au roi. Le maréchal fut exécuté en effigie pour le fait du duc de Montmorency, et, le 8 janvier 1633, René de Voyer d’Argenson, intendant de la Marche et du Limousin, eut commission de faire démolir et raser le château d’Aubusson.
François d’Aubusson épousa, le 24 septembre 1611, Isabeau Brachet, fille unique de Gui,
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Desse d’Aubusson, chevalier, baron d’Auriac et de La Bacconnaille, fit son testament le 5 octobre 1669.
Il avait épousé, le 30 juin 1643, Claude du Lau, veuve de Gabriel de Lambertie. Par son testament du 27 mai 1652, reçu Dalesme et de Mavandis, elle ne se recommande qu’à notre Sauveur. D’eux naquirent : 1° Julie, mariée à Jean Roux, chevalier, vicomte de Campaignac, qui demeurait au château de la Bacconnaille, paroisse d’Auriac, en 1683 ; 2° Catherine, alias Anne, femme, en 1682, de François Bourdicaud,
Géral d’Aubusson, abbé de Sarlat en 1255.
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Jean d’Aubusson (''de Albussone''), grand-vicaire d’Astorge-Aimery, archevêque de Vienne, et ci-devant évêque de Saint-Paul-Trois-Châteaux, fondé de procuration, prit possession de l’archevêché le 3 mars 1480 (vieux style), et fit un acte de juridiction le 19 décembre 1481, Le prélat mourut en juillet 1482.
[lsabeau d’Aubusson, fille de Jean, écuyer,
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'''BAYLE''' [André Ravili, mieux Bajuli, vivait en.,... (Registres de Borsandi, notaire a Limoges, p. 145, n° 226, apud D<small>OM</small> C<small>OL</small>.)].
Noble Jean Bayle [habitant du château de Limoges (terrier de Parroti, aux archives des prêtres de Saint–Pierre-du-Queyroix de Limoges, fol. 298 recto)],
Noble Marie Baylesse, veuve d’Estienne Mosnier, licencié ès-lois, bachelier en décrets en 1489.
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'''BAYNAC''' ({{refl|2}}).
'''BAZIN''',
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II. – Jean Bazin, écuyer, S{{exp|r}} de Puyfaulcon, épousa, par contrat du 16 mai 1546, Jeanne de Puyfaulcon, dont 1° Antoine, qui suit ; 2° Jeanne, mariée à Albert ou Imbert de La Vergne.
III. – Noble Antoine Bazin, écuyer,
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:{{refa|1}} Peyrilhac, canton de Nieul, arrondissement de Limoges (Haute-Vienne).
:{{refa|2}} Un renvoi de Nadaud indiquait cette généalogie a la page 765, déchirée, ainsi que la suivante.
:{{refa|3}} Rilhac-Lastours, canton de Nexon, arrondissement de Saint-Yrieix (
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[Bazin, S{{exp|r}} du Fuyfaulcon, chevalier de Saint-Louis, ancien capitaine d’infanterie, avait épousé, avant 1770, ..... de David de Lastours dont naquirent quelques enfants.]
Noble Jean Bazin,
Demoiselle Jeanne Bazin, femme de Jean de Livole, S{{exp|r}} de Chabants en 1654.
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'''BEAUCHAMP''',
La Grange, paroisse de Bessé ({{refl|7}}). – Portent : d’azur une aigle éployée d’argent, embrée de même.
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Il épousa 2° Marguerite Amelin, héritière de la maison de La Renaudie, qui habitait la paroisse de Saint-Front-la-Rivière en Périgord. Ses affaires domestiques l’obligérent vendre la terre de La Renaudie ç sa belle-sœur. De ce second mariage naquirent : 1° François, qui suit au n° VIII bis ; 2° Marguerite de Sainte-Aulaire, qui fut convertie la religion catholique par le curé de Gorre, et inhumée, à l’âge de soixante-dix-sept ans, le 29 mai 1661.
VIII. – Jean de Sainte–Aulaire, écuyer,
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De ce mariage naquirent : 1° Gabriel, qui suit ; 2° Antoinette, baptisée à Aixe, le 1{{exp|er}} mai 1642 ; 3° Léonarde, baptisée à Aixe, le 15 mars 1647 ; 4° Maurice, né le 28 juin 1657 ; 5° Jean, né le 2 avril 1659 ; 6° autre Jean, né le 24 février 1680, peut-être le même qui fut tué le 3 décembre 1701 sur le grand chemin de Gorre ; 7° Henri, né le 15 février 1661 ; 8° Madeleine, inhumée, à l’âge de trente ans, le 6 décembre 1694 ; 9°, 10°, 11°, 12°, 13°, 14° et 15° Susanne, Etienne, Anne, Jean, Henri, Catherine et autre Anne, morts en bas-âge, et inhumés à Gorre, dans la chapelle du cimetière, ou à Aixe.
X. – Gabriel de Sainte-Aulaire, chevalier,
D’eux naquirent : 1° Louis, qui suit ; 2° Jean, né le 19 novembre 1679 ; 3° Jacques, né le 17 août 1682 ; 4° Gabrielle-Thérèse, née le 15 mai 1684 ; 5° Marie-Claire, née le 17 mars 1686 ; 6° Louis, né le 9 avril 1688 ; 7° Anne-Henriette, née le 3 juin 1692 ; 8° et 9° Jean-Gabriel et Léonard, morts en bas-âge.
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XI. – Louis de Beaupoil de Sainte-Aulaire mourut en avril 1762, et fut inhumé à Gorre.
Il avait épousé Française Guingand, dont il eut : 1° Marie-Reine-Denise, née le 7 janvier 1714 ; 2° Jacques-Gabriel-Marie, qui, ondoyé le 12 juin 1715, reçut les cérémonies du baptême le 12 mars 1729, mourut major du régiment royal à Vitré en Bretagne le 16 juin 1752, et fut inhumé à Saint-Martin, peu regretté des officiers ; 3° Thérèse-Gabrielle, née le 4 juin 1717, mariée, le 22 septembre 1744, à Jean de Marsanges, écuyer,
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:{{refa|1}} Cussac, canton d’Oradour-sur-Vayres, arrondissement de Rochechouart (Haute-Vienne).
:{{refa|2}} Mort en son château de Vaulris, canton de Nantiat (
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S<small>OURCES</small> : L<small>ABBÉ</small>, ''Blason royal'', p. 17 ; – ''Dictionnaire généalogique'', 1757 : – M<small>ORÉRI</small>, 1759 ; – S<small>IMPLICIEN</small>, T. I, p. 376, 377 ; – [''Tablettes historiques'', II{{exp|e}} partie, p. 154 et 201 ; V{{exp|e}} partie, p. 162, 163, 164, 277, 286, 287 : VI{{exp|e}} partie, p. 142.]
'''BOURBON D’AUBIGNY'''. – Jacques de Bourbon, chevalier,
S<small>OURCES</small> : B<small>ALUZE</small>, ''Histoire de la maison d’Auvergne'', T. I, p. 392.
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'''BOURDELIE'''. – Guy de Bourdelie, écuyer, sieur de La Salle, paroisse de Saint-Martin-Sept-Pers ({{refl|4}}), épousa : 1° Gilette de Beaune, dont Marie, baptisée, le 28 janvier 1647, dans l’église de Saint-Pardoux-l’Enfantier ({{refl|5}}) ; 2° le 16 novembre 1677, Isabeau de Beaune veuve de .....
'''BOURDICAUD'''. – Noble Philippe Bourdicaud,
Charles de Bourdicaud, écuyer, S{{exp|r}} de Saint-Priest, Auriac, Charrières et Magnac, frère de Louis, épousa N..... Deschamps de Bissère, dont Marie, morte pensionnaire à l’abbaye de la Règle de Limoges, le 12 août 1763, âgée de quatorze ans.
'''BOURGEOIS'''.
Robert Bourgeois, damoiseau, épousa Eynorde Séguine. Ils vendirent, en 1374, une rente sur une maison de la ville de Saint-Junien à l’exécuteur testamentaire de Pierre, cardinal de Montmajour.
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'''CHAPCHAT'''. – D’aprés les archives du château de Montbrun ({{refl|1}}), Gaufridus de Chapchat, alias de Doucibus, chevalier, paroisse de Milhaguct, avait pour femme, en 1273, Agenis de Montfraybua.
'''CHAPELLE DE JUMILHAC''',
I. – N..... Chapelle épousa N....., dont il eut : l° Antoine, qui suit ; 2° Marie, qui épousa Jean Brun de Libersac ; 3° Jean, qui se maria ; 4° François, chanoine de Saint-Yrieix.
II. – Antoine Chapelle eut des lettres d’anoblissement au mois de décemhre 1597, confirmées en 1609. Il fit son testament, signé Chicquet, le 10 mars 1603, et un codicille, le 5 avril 1610. Il est qualifié d’écuver,
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mariée à Léonard de Massiot,
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IV. – Pierre Chapelle, S{{exp|r}} de Laubespin du Laubeypi, mourut le 10 janvier 1670. Il avait épousé, par contrat du 26 avril 1644, Jeanne Bony de La Vergne, dont il eut Marie, baptisée au Chalard-Peyroulhier, le 5 avril 1653.
III bis. - Jacques Chapelle de Jumilhac, fils d’Antoine et de Marguerite de Vars,
IV. – François Chapelle, marquis de Jumilhac,
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VI. – Pierre-Joseph, marquis de Jumilhac, lieutenant du roi en Guyenne, lieutenant-général de ses armées du l{{exp|er}} mai 1745, capitaine-lieutenant de la 1{{exp|re}} compagnie des mousquetaires du roi en mai 1738. II était né le 6 mars 1692. [Il fut reçu mousquetaire en 1713, et 2{{exp|e}} cornette de la 1{{exp|re}} compagnie de ce corps, avec le rang de mestre-de-camp de cavalerie, par brevet et commission du 28 avril 1719. Il devint 1{{exp|er}} cornette de sa compagnie le 19 décembre de la même année ; 2{{exp|e}} enseigne le 25 septembre 1742, l{{exp|er}} enseigne le 25 janvier 1726, 2{{exp|e}} sous-lieutenant le 20 novembre 1727, l{{exp|er}} lieutenant le 4 janvier 1729, brigadier par brevet du l{{exp|er}} août 1734, capitaine-lieutënant de la 1{{exp|re}} compagnie des mousquetaires le 21 mai 1738 et maréchal-de-camp par brevet du l{{exp|er}} janvier 1740. Il fut créé lieutenant-général des armées du roi par pouvoir du ler mai 1745, et ne fut déclaré qu’au mois d’octobre. On lui donna le gouvernement de Philippe-Ville par provision du 29 juin 1759. Il résidait en 1778 à Paris, rue Saint-Maur. Il était aussi lieutenant du roi au gouvernement général de la Guyenne]. Il épousa, le 21 mai 1731, Françoise-Armande de Menou de Charnizai, née le 6 décembre 1708, de François-Charles, marquis de Menou en Nivernois, et d’Anne-Thérèse Cornuau de La Grandière de Mursé, dont il eut Pierre, né le l{{exp|er}} janvier 1735, colonel dans les grenadiers de France en 1751.
IV bis. – Antoine Chapelle, fils de François et d’Isabeau du Journet, du lieu de Brutine, paroisse du Châtenet ({{refl|1}}), fit son testàment. le 31 octobre 1652. Il avait épousé Marie de La Cosse, dont il eut : 1° Léonard, qui suit ; 2° Yrieix, écuyer,
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Louise Chapelle, demoiselle du Mazat, femme de François Dard, du bourg de Peizat, mourut le 10 janvier 1670.
Henri de Jumilhac, écuyer,
Pierre-Benoît Chapelle de Jumilhac, ancien bénédictin, mourut en 1682, âgé de soixante-onze ans.
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'''CHAPITEAU''',
I. -- Pierre Chapiteau fut promu à la charge d’échevin de la ville d’Angoulême 1e 14 mars 1574. François de La Combe fut pourvu, par le décès du dit Chapiteau, le 9 octobre 1577. Il atiait épousé Isabeau Loubert, dont il eut : 1° Denis qui suit ; 2° Antoine, qui se maria, et fit la branche des Chapiteau de Guyssales. Le père de ces deux enfants leur fit une donation le 2 septembre 1577.
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<div style="text-align:center;">''Notes isolées.''</div>
Guy Chapiteau, écuyer,
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On trouve dans ''l’Hermite de Soulier'' que, au commencement du XVI{{exp|e}} siècle, Valérie de Chanac, épousa Léonard, S{{exp|r}} de Genouilhac, dont elle eut Léonarde de Genouïllac, mariée, en 1540, à Pierre du Verdier, S{{exp|gr}} de La Congère. La filiation se poursuit dans la famille du Verdier de Genouillac, immédiatement pourvue ainsi de la seigneurie de Chanac, et dont les représentants sont aujourd’hui fixés en Anjou et en Bretagne. - (R<small>OY DE</small> P<small>IERREFITTE</small>.)
'''CHAPELLE DE JUMILHAC''' (p. 357.) – I. – Léonard de Jumilhac, écuyer,
II. - François Chapelle de Jumilhac, écuyer,
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François de Jumilhac, du diocèse de Limoges, desservit d’abord par commission de la paroisse d’Azerable, du 22 septemhre 1712 au 27 février 1713, et fut ensuite curé en juillet 1714 jusqu’a sa mort, arrivée le 25 janvier 1735. Il fut inhumé dans son église. – (Registres d’Azerables.)
Philibert de Jumilhac, chevalier ; baron de Montaigut-le-Blanc ({{refl|1}}), en 1654, eut pour héritiers Jean-François de Jumilhac, baron de Langoyran,
Armes : ''d’azur à une chapelle d’or'' d’après Vertot et La Chesnaye, ou de ''sinople'' d’après Laîné, ''au Nobil, de la génér. de Lim.'' – (A. B<small>OSVIEUX</small>).
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