« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Meurtrière » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
MarcBot (discussion | contributions)
m Bot : Remplacement de texte automatisé (-(class=prose|class="prose"|class=text) +class="text")
m [[]]
Ligne 33 :
de lancer des traits d'arbalète ou des flèches, mais aussi de voir,
sans se découvrir, les travaux que les assiégeants pouvaient tenter pour
battre ou saper les ouvrages. <span id=Carcassonne1>Parmi les plus anciennes meurtrières
caractérisées, nous citerons celles des tours et courtines du château de la
cité de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Carcassonne|Carcassonne]], château dont la construction remonte au
commencement du XII<sup>e</sup> siècle. Ces meurtrières (1) se composent à l'intérieur
d'une sorte de niche voûtée en berceau surbaissé, destinée à recevoir au
Ligne 68 :
l'autre. Voici (3) le tracé d'une tour à trois étages, plus l'étage crénelé,
comme la plupart de celles qui flanquent l'enceinte intérieure de la cité
de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Carcassonne|Carcassonne]], du côté méridional.
</div>
[[Image:Schema.meurtrieres.tour.crenelee.png|center]]
Ligne 102 :
[[Image:Petite.meurtriere.png|center]]
<div class="text">
Dans les ouvrages importants de la cité de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Carcassonne|Carcassonne]], les meurtrières
qui percent les tours et les courtines bâties sous Philippe le Hardi possèdent
des niches assez semblables à celles du château du XII<sup>e</sup> siècle. Mais