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C’était la voix de la Stilla… oui !… mais sa voix un peu affaiblie avec toutes ses inflexions, son charme inexprimable, ses caressantes modulations, admirable instrument de cet art merveilleux qui semblait être mort avec l’artiste.
C’était la voix de la Stilla… oui !… mais sa voix un peu affaiblie avec toutes ses inflexions, son charme inexprimable, ses caressantes modulations, admirable instrument de cet art merveilleux qui semblait être mort avec l’artiste.


Et la Stilla répétait plaintive mélodie, qui avait bercé le rêve de Franz, lorsqu’il sommeillait dans la grande salle de l’auberge de Werst :
Et la Stilla répétait la plaintive mélodie, qui avait bercé le rêve de Franz, lorsqu’il sommeillait dans la grande salle de l’auberge de Werst :


Nel giardino de’ mille fiori,
Nel giardino de’ mille fiori,