« Page:Verne - Le Château des Carpathes.djvu/116 » : différence entre les versions

ThomasBot (discussion | contributions)
m Andre315: split
 
Aucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 15 : Ligne 15 :
— A quelle distance sommes-nous de Kolosvar ? demanda le jeune comte.
— A quelle distance sommes-nous de Kolosvar ? demanda le jeune comte.


— A une cinquantaine de milles, en suivant la route qui passe par Petroseny et Karlsburg, répondit Jonas. — Est-ce que l’étape est fatigante ?
— A une cinquantaine de milles, en suivant la route qui passe par Petroseny et Karlsburg, répondit Jonas.


— Est-ce que l’étape est fatigante ?
— Très fatigante pour des piétons, et, s’il m’est permis d’adresser cette observation à monsieur le comte, il parait avoir besoin d’un repos de quelques jours… — Pouvons-nous souper ? demanda Franz de Télek en coupant court aux invites de l’aubergiste.


— Très fatigante pour des piétons, et, s’il m’est permis d’adresser cette observation à monsieur le comte, il paraît avoir besoin d’un repos de quelques jours…
— Une demi-heure de patience, et j’aurai l’honneur d’offrir à monsieur le comte un repas digne de lui… — Du pain, du vin, des œufs et de la viande froide nous suffiront pour ce soir.


— Pouvons-nous souper ? demanda Franz de Télek en coupant court aux invites de l’aubergiste.
je vais vous servir.

— Une demi-heure de patience, et j’aurai l’honneur d’offrir à monsieur le comte un repas digne de lui…
— Du pain, du vin, des œufs et de la viande froide nous suffiront pour ce soir.

Je vais vous servir.


— Le plus tôt possible.
— Le plus tôt possible.