« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Cathédrale » : différence entre les versions

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sous le règne de ce prince que nous voyons commencer et élever rapidement
les grandes cathédrales de Soissons, de Paris, de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes B#Bourges|Bourges]], de Laon,
d’[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Amiens|Amiens]], de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]], de Reims. C’est alors aussi que l’architecture religieuse
sort de ses langes monacals; ce n’est pas aux couvents que les évêques
vont demander leurs architectes, c’est à ces populations laïques dont les
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<span id="Angers4">À la mort de Philippe-Auguste, en 1223, les principales cathédrales comprises
dans le domaine royal étaient celles de Paris, de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]], de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes B#Bourges|Bourges]],
de Noyon, de Laon, de Soissons, de Meaux, d’[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Amiens|Amiens]], d’Arras, de Cambrai,
de Rouen, d’Évreux, de Séez, de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes B#Bayeux|Bayeux]], de Coutances, du Mans, d’[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Angers|Angers]],
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et nous verrons que les plans des cathédrales bâties vers la fin du XII<sup>e</sup> siècle
et le commencement du XIII<sup>e</sup>, comme Notre-Dame de Paris, [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes B#Bourges|Bourges]], Laon,
[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]], sont totalement ou presque totalement dépourvues de chapelles.
Mais Noyon précède le grand mouvement qui porte les évêques et les
populations à élever de nouvelles cathédrales, mais le plan de Noyon est
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vu le plan de la cathédrale de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes B#Bourges|Bourges]], contemporaine de celle de Laon,
où la tradition cléricale est encore conservée; nous verrons tout à l’heure
le plan de la cathédrale de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]], où, plus qu’à [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes B#Bourges|Bourges]] encore, les
données religieuses de l’architecture romane sont observées. Laon, au
contraire, possède un plan dont le caractère est tranché; il a fallu faire
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La cathédrale de Laon conserve quelque chose de son origine démocratique;
elle n’a pas l’aspect religieux des églises de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]], d’[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Amiens|Amiens]]
ou de Reims. De loin, elle paraît un château plutôt qu’une église; sa nef
est, comparativement aux nefs ogivales et même à celle de Noyon, basse;
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À la suite d’un incendie qui détruisit de fond en comble la cathédrale
de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]], en 1020, l’évêque Fulbert voulut reconstruire son église. Les
travaux furent continués par ses successeurs à de longs intervalles. En
1145, les deux clochers de la façade occidentale, que nous voyons encore
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construction échappèrent à la destruction. Sur les débris encore fumants
de la cathédrale, Mélior, cardinal-légat du pape Célestin III, fit assembler
le clergé et le peuple de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]], et, à la suite de ses exhortations, tous
se mirent à l’œuvre pour reconstruire, sur un nouveau plan, l’ancienne
église de Notre-Dame<span id="note36"></span>[[#footnote36|<sup>36</sup>]]. L’évêque Reghault de Mouçon et les chanoines
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dons à l’érection de la vaste église.
 
<span id=Chartres3>Déjà, en 1220, Guillaume le Breton parle de ses voûtes «que l’on peut
comparer, dit-il, à une écaille de tortue,» et qui sont assez solides pour
défier les incendies à venir.
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[[Image:Plan.cathedrale.Chartres.png|center]]
<div class="text">
La fig. 11 donne le plan de la cathédrale de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]]. Ici, l’influence religieuse
paraît tout entière. Trois grandes chapelles à l’abside, quatre autres
moins prononcées entre elles, doubles bas-côtés d’une grande largeur;
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transsepts.
 
<span id=Chartres1>Nous voyons se reproduire à Notre-Dame de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]] un fait analogue à
ceux signalés dans la construction des cathédrales de Paris et de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes B#Bourges|Bourges]].
Non-seulement les architectes du XIII<sup>e</sup> siècle conservèrent les deux clochers
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voussures et fenêtres qui les surmontent, replacées sur l’alignement des
deux clochers, furent couronnées par une rose s’ouvrant sous la voûte de la
nef centrale. La construction de la cathédrale de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]] fut conduite avec
une incroyable rapidité. L’empressement des populations, des seigneurs et
souverains, à mener l’œuvre à fin ne fut nulle part plus actif. Aussi, cet
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chœur il y a encore un siècle<span id="note39"></span>[[#footnote39|<sup>39</sup>]].
 
À Notre-Dame de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]], la nef est courte comparativement au chœur;
c’est probablement pour lui donner deux travées de plus que l’ancien porche
de la façade fut supprimé et les portes avancées au nu du mur extérieur
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Aux quatre angles du transsept, quatre tours B furent commencées
(voy. fig. 12, présentant le plan du premier étage de la moitié du chœur
et des transsepts de la cathédrale de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]]); elles restèrent inachevées,
ainsi que la tour centrale qui, probablement, devait s’élever sur les quatre
gros piliers C de la croisée. Deux autres tours A furent élevées sur les deux
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Guillaume le Breton avait raison lorsque, en 1220, il disait que la
cathédrale de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]] n’avait plus rien à craindre du feu. En 1836, un
terrible incendie consuma toute la charpente supérieure et le beau beffroi
du clocher vieux (voy. [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Beffroi|Beffroi]]). La vieille cathédrale put résister à cette
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d’étonnement et d’admiration pour les étrangers qui traversent la Beauce.
 
Nous ne trouvons plus à [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]] la galerie supérieure voûtée; un
simple triforium, décoré d’une arcature, laisse une circulation intérieure
tout au pourtour de la cathédrale, derrière les combles en appentis des
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commencement du XIII<sup>e</sup> siècle. Jusqu’à présent, nous avons présenté des
plans dans lesquels il se rencontre des indécisions, des tâtonnements,
l’empreinte de traditions antérieures. À [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]] même, les fondations de
l’église de Fulbert et la conservation des vieux clochers ne laissent pas
aux architectes toute leur liberté.
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<div class="text">
Si nous comparons ce plan avec ceux de Notre-Dame de Paris, des
cathédrales de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes B#Bourges|Bourges]], de Noyon, de Laon et de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]], nous serons
frappés de l’épaisseur proportionnelle des constructions formant le périmètre
de l’édifice. C’est que Robert de Coucy appartenait à une école de
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répondent à la simplicité du plan; les contreforts et arcs-boutants, admirables de conception et de grandeur; les piles sont épaisses, les fenêtres
supérieures profondément encadrées. Cet édifice a toute la force de la
cathédrale de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]], sans en avoir la lourdeur; il réunit enfin les véritables
conditions de la beauté dans les arts, la puissance et la grâce; il est
d’ailleurs construit en beaux matériaux, savamment appareillés, et on
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époques différentes sont venues se superposer.
 
[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]] n’est qu’une réunion de fragments. [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes B#Bourges|Bourges]] et Rouen sont des
mélanges de styles de trois et quatre siècles. Les façades de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes B#Bayeux|Bayeux]], de
Coutances, de Soissons, de Noyon, de Sens, de Séez, sont restées inachevées,
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<span id="Amiens54">Le plan de la cathédrale d’[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Amiens|Amiens]] n’indique pas que les premiers
maîtres de l’œuvre aient eu la pensée d’élever, comme à [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]], à Laon
et à Reims, quatre tours aux angles des transsepts; de sorte que nous
voyons aujourd’hui la cathédrale d’[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Amiens|Amiens]] à peu près telle qu’elle fut
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doubles bas-côtés du chœur, et précédant les chapelles. Ces escaliers sont
comme un dernier reflet des tours placées sur ces points dans les églises
normandes, et qui, comme nous l’avons dit, se voient encore à [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]].
Nous les retrouvons dans les cathédrales de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes B#Beauvais|Beauvais]], de Cologne, de
Narbonne, de Limoges, qui sont toutes des filles de la cathédrale d’[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Amiens|Amiens]].
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[Illustration: Fig. 23.]
<div class="text">
<span id=Chartres2>Nous avons vu, dans le plan de l’abside de la cathédrale de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]]
(fig. 12), que les chapelles sont mal plantées; les arcs-boutants ne sont pas
placés sur le prolongement de la ligne de projection horizontale des arcs
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à rebâtir leurs cathédrales était le même sur toute la surface du domaine
royal et des provinces les plus voisines, les ressources n’étaient pas, à
beaucoup près, égales dans tous les diocèses. Pendant que Reims, [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]]
et [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Amiens|Amiens]] élevaient leur église mère sur de vastes plans, après en avoir
assuré la durée par des travaux préliminaires exécutés avec un grand luxe
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passait de fondations, ou bien on les établissait avec tant de parcimonie,
qu’elles n’offraient aucune stabilité. Lorsqu’on a vu comme sont fondées
les cathédrales de Paris, de Reims, de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]] ou d’[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Amiens|Amiens]], on ne peut
admettre que les maîtres des œuvres des XII<sup>e</sup> et XIII<sup>e</sup> siècles ne fussent pas
experts dans la connaissance de ces éléments de la construction. Mais tel
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Ce charmant édifice est exécuté avec un soin tout particulier; on n’y
voit, dans aucune de ses parties, de ces négligences si fréquentes dans nos
grandes cathédrales du nord. Les cathédrales de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]] et d’[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Amiens|Amiens]]
particulièrement, paraissent avoir été élevées avec une hâte qui tient de la
fièvre; il semble, lorsqu’on parcourt ces édifices, que leurs architectes
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À la fin de ce siècle, on pratiqua des chapelles entre les contreforts de la
nef; cette malheureuse opération, que subirent toutes nos cathédrales
françaises, sauf celles de Reims et de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]], eut pour résultat d’affaiblir
les points d’appui extérieurs et de rendre l’écoulement des eaux difficile.
Vers 1260, la tour sud de la façade s’écroula sur la belle salle synodale bâtie
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Certes, à cette époque, si l’on n’avait pas regardé cette forme de plan
comme consacrée par l’usage, même en conservant la crypte, on aurait
pu, comme à [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]], s’étendre au dehors de son périmètre, soit pour
élever un second bas-côté, soit pour ouvrir un plus grand nombre de
chapelles absidales. Le plan du XI<sup>e</sup> siècle fut conservé, et le chœur de
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et le Soissonnais, mais de celui qui dérivait des coupoles des églises
de l’Ouest (voy. [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 9, Voûte |Voûte ]]). Une porte, décorée de sculptures et de statues qui
ont avec celles du portail royal de la cathédrale de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]] la plus grande
analogie, fut ouverte au milieu de la nef au sud (35). On ne se contenta
pas de ces changements importants. Vers 1220, les anciennes absides furent
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disposition des clochers romans de la façade occidentale; ils sont complétement fermés
à rez-de-chaussée et portent de fond; c’est là une disposition
normande, que nous retrouvons à Rouen, à [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]] même, encore
indiquée à Béez et à Coutances (voy. [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 3, Clocher|Clocher]])<span id="note82"></span>[[#footnote82|<sup>82</sup>]].
 
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complétement réédifiée dès les premières années du XIII<sup>e</sup> siècle. Le chœur,
avec ses chapelles rayonnantes, qui rappellent celles du chœur de la
cathédrale de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]], paraît avoir été fondé vers la fin du règne de
Philippe-Auguste. Les constructions de la nef durent suivre presque
immédiatement celles du sanctuaire; mais il est probable que les transsepts
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que les cathédrales qui nous donnent un ensemble de sculptures à peu
près complet sont les cathédrales de Paris, de Reims, d’[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Amiens|Amiens]] et de
[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]], toutes les quatre dédiées à la sainte Vierge.
 
Trois portes s’ouvrent à la base de la façade occidentale. Sur le trumeau
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siècle.
 
<span id="footnote36">[[#note36|36]] : <i>Descript. de la cathéd. de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]]</i>, par l’abbé Bulteau, 1850.
 
<span id="footnote37">[[#note37|37]] : <i>Poëme des Miracles</i>, p. 27. (Jehan le Marchant.)
 
<span id="footnote38">[[#note38|38]] : Notre-Dame de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]] fut dédiée seulement le 17 octobre 1260.
 
<span id="footnote39">[[#note39|39]] : Des fragments de ce jubé ont été découverts en grand nombre sous le dallage;
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chapelle Saint-Piat (voy. JUBÉ).
 
<span id="footnote40">[[#note40|40]] : La cathédrale de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]] est bâtie en pierre de Berchère; c’est un calcaire dur, grossier d’aspect, mais d’une solidité à toute épreuve. Les blocs employés sont d’une grandeur extraordinaire. Nous aurons l’occasion de revenir sur ces détails (voy. [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 1, Arc-boutant|Arc-boutant]], [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Base|Base]], [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 4, Construction|Construction]], [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Porche |Porche ]], [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Pilier |Pilier ]], [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 8, Soubassement|Soubassement]]).
 
<span id="footnote41">[[#note41|41]] : Il est entendu que, pour le pignon nord, nous ne parlons pas des deux portes percées vers le milieu du XIII<sup>e</sup> siècle.
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ruine dont il est menacé depuis longtemps.
 
<span id="footnote80">[[#note80|80]] : Voir le plan du premier étage de la cathédrale de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]], où ce parti est largement développé.
 
<span id="footnote81">[[#note81|81]] : Par suite de ces constructions successives, faites d’ailleurs en matériaux peu
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de M. Didron).
 
<span id="footnote108">[[#note108|108]] : Paris, [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Amiens|Amiens]], [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]], portail méridional; Reims, portail septentrional.
 
<span id="footnote109">[[#note109|109]] : <i>Idem.</i>
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<span id="footnote111">[[#note111|111]] : Paris.
 
<span id="footnote112">[[#note112|112]] : Paris, [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Amiens|Amiens]]. À [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]], les vertus et les vices sont sculptés sur les piles du
porche méridional.
 
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<span id="footnote115">[[#note115|115]] : [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Amiens|Amiens]].
 
<span id="footnote116">[[#note116|116]] : Paris, [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Amiens|Amiens]], Reims, [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]].
 
<span id="footnote117">[[#note117|117]] : Paris, [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Amiens|Amiens]], Reims, [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Chartres|Chartres]].
 
<span id="footnote118">[[#note118|118]] : [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes A#Amiens|Amiens]].