« L’Image voilée de Saïs (tr. Régnier) » : différence entre les versions
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Léger, certes, mais un poids pour ta conscience. »
Le jeune homme revint tout pensif à sa demeure ;
L'ardente passion de savoir lui ravit le sommeil,
Il se roule, brûlant sur sa couche
Et vers minuit se lève d'un bond. Au temple
Le conduisent involontairement ses pas craintifs.
Il lui fut facile d'escalader le mur,
Et à l'intérieur de la
Le voilà maintenant debout, et l'horreur
D'un silence sans vie saisit le solitaire,
Qu'interrompt seulement l'écho sourd
De ses pas dans les caveaux mystérieux.</pre>
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