« Page:Aimard, Auriac - Cœur de panthère.djvu/11 » : différence entre les versions

Navigation interactive dans l’historique

Modification suivante →

@@ État de la page (Qualité des pages) / État de la page (Qualité des pages) @@
-Page non corrigée
+Page corrigée
@@ Contenu (par transclusion) : / Contenu (par transclusion) : @@
@@ Ligne 1 : / Ligne 1 : @@
-f
-I  ’
-LES DBÀMES DU NOUVEAU-MONDE V
-Le Fort Laramie, qui occupe un des points extrêmes,
+Le Fort Laramie, qui occupe un des points extrêmes, est situé au confluent nord de la Nébraska ou Platte, avec un autre cours d’eau qu’elle absorbe.
-est situé au confluent nord (le la Néhraska.
+Des sources de la Platte à ce confluent la rivière décrit un cercle immense d’environ quatre-cents milles, embrassant dans son cours plusieurs chaînes de montagnes égales en hauteur.
-ou Platte, avec un autre cours d’eau qu’ellq
-absorbe.
+D’un autre côté, la rivière Laramie dont la naissance est proche de la Nébraska, entoure le reste du territoire, sur un diamètre de soixante-et-quinze milles, et complète ainsi la circonférence.
-Des sources de la Platte à ce confluent la rivière
-décrit un cercle immense d*environ quatreeents
+Cette enclave constitue les fameuses ''plaines de Laramie''.
-milles, embrassant dans son cours plusieurs
-chaînes de montagnes égales en hauteur.
+Cette région n’est pas seulement une prairie monotone et stérile; on y voit des vallées fertiles, riantes, couvertes de forêts et de récoltes; des côteaux admirables et verdoyants; de gras pâturages; des cours d’eau rayonnant dans toutes les directions.
-D’un autre côté, la rivière Laramie dont la
-naissance est proche de la Nebraska, entoure le
+Au milieu des âpres Montagnes Rocheuses, c’est un oasis, un Éden inattendu.
-reste du territoire, sur un diametre de soixante et-quinze
-milles, et complète ainsi la circonférence.
+Tout autour, le colossal amphithéâtre des hautes cîmes s’élève dans sa grandeur solitaire et forme
-Cette enclave constitue les fameuses plaines de
-Laramie.
-Cette région west pas seulement une prairie
-monotone et stérile ; on yvoit des vallées fertiles,
-riantes, couvertes de forêts et de récoltes ; des eô{
-teaux admirables et verdoyants ; de gras pâturages ;
-des cours d’eau rayonnant @ns toutes les
-directions. ’,
-Au milieu des åpres Montagnes Rocheuses,
-c’est un oasis, un Eden inattendu..«
-Tout autour, le colossal amphithéâtre des hautes
-s
-cimes s’élève dans sa grandeur solitaire et forme :

« Page:Aimard, Auriac - Cœur de panthère.djvu/11 » : différence entre les versions

« Page:Aimard, Auriac - Cœur de panthère.djvu/11 » : différence entre les versions