« Page:Lemerre - Anthologie des poètes français du XIXème siècle, t1, 1887.djvu/336 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
<br /> |
|||
{{Centré|XVII}} |
|||
<poem> |
<poem> |
||
XVII |
|||
Hélas ! Marietta, tu nous restais encore. |
Hélas ! Marietta, tu nous restais encore. |
||
Ligne 7 : | Ligne 7 : | ||
Le laboureur s’arrête, et, le front en sueur, |
Le laboureur s’arrête, et, le front en sueur, |
||
Aspire dans l’air pur un souffle de bonheur. |
Aspire dans l’air pur un souffle de bonheur. |
||
Ainsi nous consolait ta voix fraiche et sonore |
Ainsi nous consolait ta voix fraiche et sonore, |
||
Et tes chants dans les cieux emportaient la douleur. |
Et tes chants dans les cieux emportaient la douleur. |
||
</poem> |
|||
<br /> |
|||
XVI |
|||
{{Centré|XVIII}} |
|||
<poem> |
|||
Ce qu’il nous faut pleurer sur ta tombe hâtive, |
Ce qu’il nous faut pleurer sur ta tombe hâtive, |
||
Ligne 18 : | Ligne 20 : | ||
C’est cette voix du cœur qui seule au cœur arrive, |
C’est cette voix du cœur qui seule au cœur arrive, |
||
Que nul autre, après toi, ne nous rendra jamais. |
Que nul autre, après toi, ne nous rendra jamais. |
||
</poem> |
|||
<br /> |
|||
XIX |
|||
{{Centré|XIX}} |
|||
<poem> |
|||
Ah ! tu vivrais encor, sans cette âme indomptable. |
Ah ! tu vivrais encor, sans cette âme indomptable. |