« Page:Lemerre - Anthologie des poètes français du XIXème siècle, t1, 1887.djvu/128 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 4 : | Ligne 4 : | ||
Sur le rouge velours de ces mornes banquettes |
Sur le rouge velours de ces mornes banquettes |
||
Où gisent les débris des anciennes coquettes. |
Où gisent les débris des anciennes coquettes. |
||
Donc, point de hauts turbans, aux aigrettes en pleurs |
Donc, point de hauts turbans, aux aigrettes en pleurs, |
||
Point d’or, point de rubis... des fleurs, et puis des fleurs ! |
Point d’or, point de rubis... des fleurs, et puis des fleurs ! |
||
Quelque rose mêlée à ces cheveux d’ébène |
Quelque rose mêlée à ces cheveux d’ébène |
||
Ligne 15 : | Ligne 15 : | ||
Oh ! les fleurs pour cela ne vous manqueront pas ! |
Oh ! les fleurs pour cela ne vous manqueront pas ! |
||
La danseuse est déesse, il en naît sous ses pas. |
La danseuse est déesse, il en naît sous ses pas. |
||
Regardez ! vous n’avez que |
Regardez ! vous n’avez que l’embarras du nombre. |
||
Quelque souci jaunâtre y répand-il son ombre |
Quelque souci jaunâtre y répand-il son ombre ? |
||
Poussez cet étranger du pied avec dédain, |
Poussez cet étranger du pied avec dédain, |
||
Et rapportez-le moi... J’en ai tout un jardin. |
Et rapportez-le moi... J’en ai tout un jardin. |
||
Ligne 29 : | Ligne 29 : | ||
« C’est lui que j’oubliais, et qui m’aime le plus. » |
« C’est lui que j’oubliais, et qui m’aime le plus. » |
||
</poem> |
</poem> |
||
<br /> |
|||
{{Centré|______}} |
{{Centré|______}} |