« Page:Clerget - Louis-Xavier de Ricard, 1906.djvu/10 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 12 : | Ligne 12 : | ||
{{Centré|'''''À Edgar Quinet'''''}} |
{{Centré|'''''À Edgar Quinet'''''}} |
||
<poem> |
<poem> |
||
La baguelte du temps frappe le jour nouveau |
La baguelte du temps frappe le jour nouveau |
||
Au fond de l’avenir où tout enfant il joue ; |
Au fond de l’avenir où tout enfant il joue ; |
||
Ligne 24 : | Ligne 25 : | ||
Ainsi, ta main hardie et sereine a placé |
Ainsi, ta main hardie et sereine a placé |
||
Les clartés du savoir et de la poésie |
Les clartés du savoir et de la poésie |
||
Uans noire âpre chemin, que |
Uans noire âpre chemin, que l’ombre avait glacé. |
||
Tu fis vibrer les tueurs du verbe de la vie |
Tu fis vibrer les tueurs du verbe de la vie |
||
Ligne 31 : | Ligne 32 : | ||
</poem> |
</poem> |
||
<br /> |
<br /> |
||
Se voulant immuable dans son activité, il cfTermit encore son geste déter |
|||
miné, sa pensée virile d’où il chasse la rêverie, et les vers même sc font |
miné, sa pensée virile d’où il chasse la rêverie, et les vers même sc font |
||
rigides, toute la vigueur du poète se rallie autour de sa conception : |
rigides, toute la vigueur du poète se rallie autour de sa conception : |