« Voyages en France en 1787, 1788 et 1789 » : différence entre les versions

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{{Titre|Voyages en France en 1787, 1788 et 1789|[[Auteur:Arthur Young|Arthur Young]]|1794}}
 
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PRÉFACE DE L’AUTEUR
 
 
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Il est permis de douter que l’histoire moderne ait offert à l’attention de l’homme politique quelque chose de plus intéressant que le progrès et la rivalité des deux empires de France et d’Angleterre, depuis le ministère de Colbert jusqu’à la révolution française. Dans le cours de ces cent trente années tous deux ont jeté une splendeur qui a causé l’admiration de l’humanité.
 
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Le 30. — Bradfield. — Ici s’arrêtent, je l’espère, mes voyages. Après avoir examiné l’agriculture et les ressources politiques de l’Angleterre et de l’Irlande, il y avait, à en faire autant pour la France, un intérêt dont l’importance me fit tenter l’entreprise. Cependant quelque agréable que soit la perspective de donner au public le meilleur aperçu de l’agriculture qu’on ait fait jusqu’à ce jour, je me sens plus heureux encore de l’espoir de rester désormais dans ma ferme, dans cette calme retraite convenable à ma fortune et, j’en ai la confiance, d’accord avec mon caractère. — 72 milles.
 
 
FIN
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