« Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Hugo, Pagnerre, 1865, tome 1.djvu/222 » : différence entre les versions

mAucun résumé des modifications
mAucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 11 : Ligne 11 :


{{Personnage|LAERTES|c}}
{{Personnage|LAERTES|c}}

— Mes bagages sont embarqués, adieu ! — Ah ! sœur, quand les vents seront bons — et qu’un convoi sera prêt à partir, ne vous endormez pas, — mais donnez-moi de vos nouvelles.
— Mes bagages sont embarqués, adieu ! — Ah ! sœur, quand les vents seront bons — et qu’un convoi sera prêt à partir, ne vous endormez pas, — mais donnez-moi de vos nouvelles.


{{Personnage|OPHÉLIA|c}}
{{Personnage|OPHÉLIA|c}}

En pouvez-vous douter ?
En pouvez-vous douter ?


{{Personnage|LAERTES|c}}
{{Personnage|LAERTES|c}}

— Pour ce qui est d’Hamlet et de ses frivoles attentions, — regardez cela comme une fantaisie, un jeu sensuel, une violette de la jeunesse printanière, — précoce mais éphémère, suave mais sans durée, — dont le parfum remplit une minute ; — rien de plus.
— Pour ce qui est d’Hamlet et de ses frivoles attentions, — regardez cela comme une fantaisie, un jeu sensuel, une violette de la jeunesse printanière, — précoce mais éphémère, suave mais sans durée, — dont le parfum remplit une minute ; — rien de plus.


{{Personnage|OPHÉLIA|c}}
{{Personnage|OPHÉLIA|c}}

Rien de plus, vraiment ?
Rien de plus, vraiment ?