« Fortunio/6 » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Phe (discussion | contributions)
mAucun résumé des modifications
Phe-bot (discussion | contributions)
m Phe: match
Ligne 11 :
 
 
 
==__MATCH__:[[Page:Gautier - Œuvres de Théophile Gautier, tome 2.djvu/63]]==
 
{{c|'''Chapitre VI'''}}
Ligne 28 ⟶ 29 :
des roseaux et des plantes marines, sculptés et
rehaussés d’argent, sont placées au-dessus des
 
==[[Page:Gautier - Œuvres de Théophile Gautier, tome 2.djvu/64]]==
portes couvertes de portières de perse à petites
fleurs ; des coquillages, des madrépores et des
Ligne 60 ⟶ 63 :
aller en arrière sur l’épaule de la suivante agenouillée,
je me sens défaillir.
==[[Page:Gautier - Œuvres de Théophile Gautier, tome 2.djvu/65]]==
 
Puis, prenant une voix brève dont la sécheresse
Ligne 93 ⟶ 97 :
 
Jacinthe entra et vint se pencher à l’oreille de
 
==[[Page:Gautier - Œuvres de Théophile Gautier, tome 2.djvu/66]]==
Musidora. ― C’était Arabelle qui demandait à voir
Musidora.
Ligne 124 ⟶ 130 :
― On est ordinairement trompé en sens inverse. ―
Mais vous ne savez ce qui m’amène ?
==[[Page:Gautier - Œuvres de Théophile Gautier, tome 2.djvu/67]]==
 
― Non, et vous ? dit Musidora en souriant.
Ligne 155 ⟶ 162 :
 
― Non, cette chambre est celle où je serre mes
diamants et mes bijoux ; elle n’a qu’une issue que
==[[Page:Gautier - Œuvres de Théophile Gautier, tome 2.djvu/68]]==
que
j’avais soigneusement fermée en sortant pour aller
au souper de George. Comprends-tu cela ? En
Ligne 189 ⟶ 198 :
eût deviné mes intentions, je n’ai trouvé qu’une
fleur desséchée, une aiguille et deux chiffons de
papier noircis du plus affreux grimoire. N’est-ce
==[[Page:Gautier - Œuvres de Théophile Gautier, tome 2.djvu/69]]==
N’est-ce
pas la plus sanglante dérision du monde ?
 
Ligne 219 ⟶ 230 :
― Les gouttes d’eau étincelantes suspendus à son
corps lui faisaient comme un réseau de perles. Elle
était charmante ainsi. ― Avec sa peau légèrement
==[[Page:Gautier - Œuvres de Théophile Gautier, tome 2.djvu/70]]==
sa peau légèrement
surprise par les baisers de l’air, ses cheveux pâles
allongés par l’humidité, pleurant sur son dos et
Ligne 248 ⟶ 261 :
et donna de l’accent, de la vie et une tournure
poétique à l’œuvre morte de ses femmes.
==[[Page:Gautier - Œuvres de Théophile Gautier, tome 2.djvu/71]]==
 
Cela fait, l’on déjeuna à la hâte et Jack vint