« Maître du monde/12 » : différence entre les versions
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Et, cependant, cette conviction ne pouvait avoir la valeur d’une certitude, bien qu’elle nous parût telle !…
Enfin, quoi qu’il en fût, le bateau continuait à s’approcher, et, certainement, son capitaine connaissait parfaitement ces passes
==[[Page:Verne - Maître du monde, Hetzel, 1904.djvu/149]]== ==[[Page:Verne - Maître du monde, Hetzel, 1904.djvu/150]]== ==__MATCH__:[[Page:Verne - Maître du monde, Hetzel, 1904.djvu/151]]== de Black-Rock, puisqu’il s’y aventurait en pleine obscurité. Pas un fanal à bord, pas une clarté de l’intérieur filtrant à travers les hublots. Par instants, on entendait la machine qui fonctionnait en douceur. Les clapotis du remous s’accentuaient et, avant quelques minutes, il serait « à quai ». Si j’emploie cette expression usitée dans les ports, ce n’est pas sans justesse. En effet, les roches, en cet endroit, formaient plateau, à cinq ou six pieds au-dessus du niveau du lac, emplacement tout indiqué pour un accostage.
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Est-ce que, décidément, ils n’étaient que deux à bord ?…
Wells et moi, John Hart et Nab Walker, après avoir remonté la passe, nous rampions le long des roches. Des cavités s’évidaient çà et là. Je m’enfonçai avec Wells dans l’une, les deux agents dans l’autre.
Si les hommes de l’Épouvante descendaient sur la grève, ils ne pourraient nous voir, mais nous les verrions, et il y aurait lieu d’agir suivant les circonstances.
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