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sima,4oocorollariis armata,integrumApollonium complexus |
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est. » |
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En 1644. dans une préface des Cogitata Physico-mathematica (citée plus haut t. I, p. 196), Mersenne, vantant la science des deux Pascal, dit de Biaise : « Unica propositione universalissima, 4oo corollariis armata, integrum Apollonium complexus est. » |
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D'autre part, à la date du 17 mars 1648, Mersenne écri- |
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vait à Constantin Huygens * : « Si votre Archimede - vient |
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avec vous [à Paris], nous lui ferons voir un des plus beaux |
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achevé par le jeune Pascal. C'est la solution du lieu de Pap- |
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pus ad 3 et 4 lineas qu'on prétend ici n'avoir pas esté résolu |
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par M. des Cartes en toute son étendue. Il a fallu des lignes |
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rouges, vertes et noires pour distinguer la grande multitude |
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des considérations... » En post scriptum. «Votre Archimede |
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verra l'invention dudit Pascal pour supputer sans peine et |
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sans rien savoir ! » |
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D’autre part, à la date du 17 mars 1648, Mersenne écrivait à Constantin Huygens * : « Si votre Archimede - vient avec vous [à Paris], nous lui ferons voir un des plus beaux |
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Ainsi, tandis qu'il s'occupait de sa machine arithmétique et de |
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travaux physiques, Pascal n'avait pas abandonné la géométrie. |
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achevé par le jeune Pascal. C’est la solution du lieu de Pappus ad 3 et 4 lineas qu’on prétend ici n’avoir pas esté résolu par M. des Cartes en toute son étendue. Il a fallu des lignes rouges, vertes et noires pour distinguer la grande multitude des considérations... » En post scriptum. «Votre Archimede verra l’invention dudit Pascal pour supputer sans peine et sans rien savoir ! » |
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11 poursuivait ses études sur les sections coniques et s'atta- |
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quait au célèbre problème de Pappus. Mais quoi qu'en dise |
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Mersenne, et malgré l'affirmation de Madame Per^er^ il |
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est douteux que ces travaux aient jamais été terminés. En |
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effet, dans son adresse à l'Académie Parisienne, en i654, Pas- |
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cal en est encore à annoncer qu'il livrera prochainement son |
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Conicorum opus completum et un écrit intitulé De locis solidis |
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où aurait sans doute figuré le problème de Pappus. Faisant |
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allusion aux mêmes recherches, il écrit à Fermât le 29 juillet |
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Ainsi, tandis qu’il s’occupait de sa machine arithmétique et de travaux physiques, Pascal n’avait pas abandonné la géométrie. Il poursuivait ses études sur les sections coniques et s’attaquait au célèbre problème de Pappus. Mais quoi qu’en dise Mersenne, et malgré l’affirmation de Madame Perier, il est douteux que ces travaux aient jamais été terminés. En effet, dans son adresse à l’Académie Parisienne, en 1654, Pascal en est encore à annoncer qu’il livrera prochainement son ''Conicorum opus completum'' et un écrit intitulé ''De locis solidis'' où aurait sans doute figuré le problème de Pappus. Faisant allusion aux mêmes recherches, il écrit à Fermat le 29 juillet |
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��1. Œuvres complètes de Huygens, I, p. 83. |
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1. Œuvres complètes de Huygens, I, p. 83. |
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2. Il s’agit de Christiaan Huygens. |
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