« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Lavatoire » : différence entre les versions

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qui remonte à l'antiquité<span id="note1"></span>[[#footnote1|<sup>1</sup>]] et qui s'est conservée jusqu'à la fin du dernier
siècle dans quelques provinces, comme le pays basque, par exemple, les
environs d'Avranches et le Vivarais. <span id=Cluny>Le sieur de Moléon<span id="note2"></span>[[#footnote2|<sup>2</sup>]] décrit ainsi le
lavatoire de l'abbaye de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Cluny|Cluny]]: «Au milieu d'une chapelle fort spacieuse
et fort longue, où l'on entre du cloître dans le chapitre, est le lavatoire,
qui est une pierre longue de six ou sept pieds, creusée environ de sept
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où s'écoulait l'eau après qu'on avait lavé le mort.» L'auteur donne
un figuré de ce lavatoire que nous présentons ici (1); il ajoute qu'il y
avait des pierres semblables dans l'hôpital de la ville de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Cluny|Cluny]], dans le chapitre
de l'église cathédrale de Lyon, dans le revestiaire de celle de Rouen
et dans presque tous les monastères des ordres de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Cluny|Cluny]] et de Cîteaux.
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