« Michel Strogoff/Partie 2/Chapitre 2 » : différence entre les versions
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Ogareff. Par ses bohémiennes, elle pénétrait en tout lieu, entendant
et rapportant tout. Ivan Ogareff était tenu au courant de ce qui se
faisait jusque dans le
yeux, cent oreilles, toujours ouverts pour sa cause. D'ailleurs, il
payait largement cet espionnage, dont il retirait grand profit.
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disait-elle.
Et dans son
«Seigneur, faites que ce soit moi!»
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Nadia, elle aussi, fut longtemps, sinon muette, du moins sobre de
toute parole inutile. Cependant, un jour, sentant qu'elle avait devant
elle une âme simple et haute, son
raconté, sans en rien cacher, tous les événements qui s'étaient
accomplis depuis son départ de Wladimir jusqu'à la mort de Nicolas
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«Tu m'as dit encore que rien ne l'arrêtait, que rien ne l'étonnait,
qu'il était si doux dans sa force même, que tu avais une
bien qu'un frère en lui, et qu'il a veillé sur toi comme une mère?
—Oui, oui! dit Nadia. Frère,
—Et aussi un lion pour te défendre?
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ce que je ne savais pas moi-même, je le sais à l'heure qu'il est! Tu
m'as tout fait comprendre! Mais la lumière que tu as jetée au plus
profond des ténèbres de mon
entrer dans le tien. Le secret de mon fils, Nadia, puisqu'il ne te l'a
pas dit, il faut que je le lui garde! Pardonne-moi, Nadia! Le bien que
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«Espère, mon enfant! Le malheur ne s'acharnera pas toujours sur toi!
Tu reverras ton père, j'en ai le pressentiment, et, peut-être, celui
qui te donnait le nom de
permettre que ton brave compagnon ait péri!... Espère, ma fille!
espère! Fais comme moi! Le deuil que je porte n'est pas encore celui
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