« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Lanterne des morts » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
m [[]]
m [[]]
Ligne 119 :
[[Image:Illustration_fig4_6_168.png|center|400px]]
<div class=prose>
<span id=Celefrouin>Une des lanternes des morts les mieux conservées, datant du XII<sup>e</sup> siècle,
se voit à [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Celefrouin|Celfrouin]] (Charente). La petite porte qui servait à introduire,
à allumer et à guinder la lampe, est relevée de trois mètres au-dessus de
la plate-forme circulaire sur laquelle s'élève l'édicule; ce qui fait supposer
qu'il fallait se servir d'une échelle pour allumer cette lampe et la hisser
au sommet de la cheminée. La lanterne de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Celefrouin|Celfrouin]], contrairement à
l'usage adopté, n'a qu'une seule ouverture au sommet, par laquelle on
peut apercevoir la lumière de la lampe. Quant à la petite tablette qui se