« La Divine Comédie (trad. Lamennais)/Le Paradis/Chant XI » : différence entre les versions

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{{ChapitreNav
| [[Dante Alighieri|Dante]]
| <small>[[La Divine Comédie (traduction Lamennais)|La Divine Comédie]]</small><br>'''Le Paradis'''
| '''Chant XI'''
|
| [[La Divine Comédie (trad. Lamennais) : Le Paradis - Chant X|La Divine Comédie (trad. Lamennais) : Le Paradis - '''Chant X''']]
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| [[La Divine Comédie (trad. Lamennais) : Le Paradis - Chant XII|La Divine Comédie (trad. Lamennais) : Le Paradis - '''Chant XII''']]
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== Notes ==
 
{{Refa|1}}Les aphorismes d’Hippocrate, la médecine.
 
{{Refa|2}}Chant X.
 
{{Refa|3}} ''Ibid''.
 
{{Refa|4}}''Clamans'' ''voce'' ''magnâ''. — Matth. 27.
 
{{Refa|5}}''Acquisivit'' ''Ecclesiam'' ''sanguine'' ''suo''. — Act. 20.
 
{{Refa|6}}Dans deux voies diverses, celle de la science et celle de l’amour.
 
{{Refa|7}}Petit fleuve, prés d’Assise.
 
{{Refa|8}}Le Chiassi, qui sort d’une colline où saint Ubaldo se bâtit un ermitage, dans le territoire d’Agobbio.
 
{{Refa|9}} Porte de Pérouse, du côté de laquelle cette ville, en hiver reçoit le froid des monts couverts de neige, et en été la chaleur réverbérée par ces mêmes monts.
 
{{Refa|10}}A cause de la domination tyrannique des Pérugins, ou, selon d’autres, à cause de leur sol froid et stérile.
 
{{Refa|11}} C’est-à-dire, « d’une splendeur et d’une ardeur égale à celle de notre soleil, lorsqu’on été il se lève au-dessus du Gange. »
 
{{Refa|12}} Assise : mais l’italien ''Ascesi'' offre un double sens sur lequel joue Dante, ce mot étant le nom propre du lieu où naquit saint François, et renfermant en outre l’idée de monter, surgir, se lever, du verbe ''ascendere''.
 
{{Refa|13}} La pauvreté.
 
{{Refa|14}} Qui déplaît, qu’on hait à l’égal de la mort.
 
{{Refa|15}} L’évêque et le clergé.
 
{{Refa|16}}Devant son père.
 
{{Refa|17}} Jésus-Christ.
 
{{Refa|18}} Lorsque le monde entier tremblait devant César, frappant à la porte du pécheur Amyclas et l’appelant à haute voix, il le trouva tranquille avec la pauvreté
 
{{Refa|19}} Au pied de la croix.
 
{{Refa|20}} Bernardo di Quintavalle, premier disciple de saint François.
 
{{Refa|21}} Il n’eut point le cœur si lâche que de baisser les yeux, de rougir d’être le fils de Pierre Bernadone, homme de basse condition.
 
{{Refa|22}}Le pape Innocent III.
 
{{Refa|23}} L’Esprit-Saint couronna une seconde fois les saints désirs de l’Archimandrite, en inspirant à Honorius d’approuver de nouveau son Ordre.
 
{{Refa|24}} Le mont d’Alvernia, situé entre le Tibre et l’Arno, près de Chiusi, dans le Casentino.
 
{{Refa|25}} Les stigmates.
 
{{Refa|26}} Du sein de sa dame, ou de la pauvreté.
 
{{Refa|27}} Il voulut être enseveli comme les plus pauvres, et même, disent les Chroniques, dans le lieu où l’on enterrait les malfaiteurs suppliciés.
 
{{Refa|28}}En se conformant exactement à ses prescriptions.
 
{{Refa|29}} « Un de tes doutes sera éclairci. »
 
{{Refa|30}}L’arbre est le sujet traité, les copeaux les choses dites à ce sujet, les déductions qui s’y rapportent.
 
{{Refa|31}} ''Il'' ''corregier'' paraît dériver de ''corregio'', ''courroie'', comme ''cordelier'' de ''corde'', ''cordon'' ; et ainsi le premier désignerait les Dominicains, comme le second désigne les Franciscains. — Suivant une autre leçon : ''E'' ''vedra’l'' ''corregere'', etc. Le sens serait alors : ''Et'' ''tu'' ''verras'' ''la'' ''réprimande'', l’avertissement qui se tire de ces paroles : ''Où'' ''bien'' ''l’on'' ''s’engraisse'', etc.