« La Divine Comédie (trad. Lamennais)/Le Paradis/Chant IV » : différence entre les versions
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| [[Dante Alighieri|Dante]]
| <small>[[La Divine Comédie (traduction Lamennais)|La Divine Comédie]]</small><br>'''Le Paradis'''
| '''Chant IV'''
| [[La Divine Comédie (trad. Lamennais) : Le Paradis - Chant III|
|
| [[La Divine Comédie (trad. Lamennais) : Le Paradis - Chant V|
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== Notes ==
{{Refa|1}} « De deux choses que je désirais également savoir, incertain de laquelle Je m’empierrais la première. »
{{Refa|2}}Nabuchodonosor voulait que ses mages lui expliquassent un songé qu’il avait oublié, ce que n’ayant pu faire, il ordonna de les mettre à mort. Daniel connut quel était ce songe que le roi ne pouvait se rappeler, et lui en donna l’interprétation.
{{Refa|3}} Platon enseignait que les âmes habitaient les étoiles avant d’en former des corps mortels, et que, dégagés d’eux, elles y retournaient, pour y séjourner plus ou moins longtemps, selon la mesure de leurs mérites.
{{Refa|4}} Qui a le plus de venin, qui donne lieu aux erreurs les plus dangereuses.
{{Refa|5}} Jean Baptiste, ou Jean l’Evangéliste.
{{Refa|6}}Selon la doctrine des Péripatéticiens : ''Nihil'' ''est'' ''in'' ''intellectu'', ''quin'' ''priûs'' ''fuerit'' ''in'' ''sensu''.
{{Refa|7}}L’archange Raphaël.
{{Refa|8}}La doctrine de Platon dans le Timée, et celle de l’Eglise ne sont pas les mêmes, car celle-ci parle figurément, tandis que celui-là paraît penser réellement ce qu’expriment ses paroles.
{{Refa|9}}Informa d’elle le corps humain.
{{Refa|10}}« Doivent être attribués, en un certain sens, les vertus et les vices des hommes. •
{{Refa|11}} En faisant croire que les planètes étaient vraiment le séjour des Dieux dont elles portent le nom ; ou, selon d’autres, étaient l’unique demeure des âmes bienheureuses.
{{Refa|12}} C’est-à-dire, selon le sens moral, « de la doctrine théologique. »
{{Refa|13}} Ce passage a paru aux commentateurs plein de difficultés Insolubles. Le sens que nous y donnons est du moins clair, et semble naturel.
{{Refa|14}} « Ne donne aucune adhésion à ce qu’on le force de faire. »
{{Refa|15}}Si la volonté ne fléchit point, si elle demeure entière, elle se remontre dans les actes telle qu’elle était auparavant, dès que la contrainte cesse, comme la flamme s’élève conformément à sa nature sitôt que la force cesse de la courber.
{{Refa|16}}Mutius Scovola, qui tint sa main sur un brasier ardent, pour la punir de l’erreur qu’elle avait commise en tuant un autre au lieu de Porsenna.
{{Refa|17}}Alcméon, fils d’Amphiaraûs, tua sa propre mère, à la prière de son père mourant.
{{Refa|18}} C’est-à-dire, « considérée en soi, séparément tics causes extérieures qui la modifient. »
{{Refa|19}}De Dieu, source de toute vérité.
{{Refa|20}} Vain.
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