« La Divine Comédie (trad. Lamennais)/Le Purgatoire/Chant XXXII » : différence entre les versions

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| [[Dante Alighieri|Dante]]
| <small>[[La Divine Comédie (traduction Lamennais)|La Divine Comédie]]</small><br>'''Le Purgatoire'''
| '''Chant XXXII'''
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| [[La Divine Comédie (trad. Lamennais) : Le Purgatoire - Chant XXXI|La Divine Comédie (trad. Lamennais) : Le Purgatoire - '''Chant XXXI''']]
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| [[La Divine Comédie (trad. Lamennais) : Le Purgatoire - Chant XXXIII|La Divine Comédie (trad. Lamennais) : Le Purgatoire - '''Chant XXXIII''']]
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{{Refa|1}} Béatrice était morte en 1290, et Dante est supposé faire son voyage en l’an 1300.
 
{{Refa|2}} Littéralement : « Et les yeux d’ici et de là avaient un mur de non se coucier. » On peut juger, par cet exemple, combien la bizarrerie des métaphores, jointe à la concision elliptique, rend quelquefois obscure la pensée de Dante.
 
{{Refa|3}}Les sept Chandeliers.
 
{{Refa|4}} C’est-à-dire : l’inclinât en une direction différente.
 
{{Refa|5}}A l’aide de qui j’avais passé le fleuve Léthé.
 
{{Refa|6}}Selon d’autres, ''la'' ''semence'' ''de'' ''tout'' ''ce'' ''qui'' ''est'' ''juste''.
 
{{Refa|7}}Il se tourna, la tête vers le timon, tandis qu’en tirant le char il était dans la position contraire.
 
{{Refa|8}}Suivant une autre interprétation, ''laissé'' ''lié'' ''à'' ''lui'' ''ce'' ''qui'' ''était'' ''de'' ''lui''. Ce que l’on explique en disant que ''l’arbre'' ''veuf'' est la Rome païenne soumise au seul pouvoir des Empereurs, et que le Griffon est Jésus-Christ qui, en instituant le pouvoir spiritual des Pontifes romains, lie au pouvoir temporel ce nouveau pouvoir « qui dérive de lui. »
 
{{Refa|9}}La lumière du soleil.
 
{{Refa|10}}La ''lasca'' est un poisson aux écailles brillantes et argentées. Ici, il signifie le signe des Poissons, qui suit dans le Zodiaque relui du Délier. Le sens est donc que « comme, lorsque le soleil est dans le Bélier, — c’est-à-dire au printemps,— les plantes se gonflent, etc. »
 
{{Refa|11}}Au récit de l’histoire de Syrinx. Junon, jalouse d’Io, l’avait mise sous la garde d’Argus, dont cent yeux veillaient incessamment. Jupiter ayant chargé Mercure d’enlever la jeune nymphe, celui-ci tua Argus,après l’avoir endormi en lui racontant l’histoire de Syrinx.
 
{{Refa|12}}''Le'' ''veiller'' ''plus'' que les autres hommes ''coûta'' ''cher'' à Argus, que Mercure tua faute de pouvoir surprendre sa vigilance.
 
{{Refa|13}}Lors de la transfiguration de Jésus-Christ sur le Thabor.
 
{{Refa|14}}Allusion à la résurrection de Lazare, et aux paroles de Jésus-Christ en cette occasion : Notre ami Lazare dort, mais je vais le réveiller. — Joann. XI, 11.
 
{{Refa|15}} La racine de l’arbre.
 
{{Refa|16}} Les trois Vertus théologales et les quatre Vertus cardinales.
 
{{Refa|17}} La terre, telle qu’elle sortit des mains de Dieu, et que le péché n’avait pas souillée.
 
{{Refa|18}} Le vent du midi, le sirocco.
 
{{Refa|19}}C’est-à-dire : Seigneur.
 
{{Refa|20}} Selon les interprètes, les persécutions des Empereurs romains figurés par l’Aigle.
 
{{Refa|21}} Suivant les uns, le Pape Anastase, intrus par ruse dans le siège pontifical, et qui tomba dans l’erreur de Photin ; suivant d’autres, Arius ; et, suivant d’autres encore, Julien l’Apostat.
 
{{Refa|22}} Les donations faites à l’Eglise romaine par les Empereurs chrétiens, et spécialement par Constantin.
 
{{Refa|23}} A cause de tous les vices,, de toutes les corruptions qu’engendrèrent ces donations.
 
{{Refa|24}} L’avarice, selon le sentiment le plus général.
 
{{Refa|25}} Nul accord sur ce que représentent ces sept Têtes ; les uns disent les sept sacrements, d’autre les sept péchés capitaux. La première opinion est évidemment insoutenable ; la diversité des sentiments prouve, au reste, combien ces obscures catégories sont incertaines.
 
{{Refa|26}} La cour de Rome, et spécialement Boniface VIII.
 
{{Refa|27}} Philippe le Bel.
 
{{Refa|28}} Le char qui figure le siège apostolique, lequel fut transféré en France par Philippe Le Bel, après l’élection simoniaque de Clément V.
 
{{Refa|29}} Littéralement : Que seule elle me fait un bouclier contre, etc. Le mot bouclier est pris ici dans le sens d’un obstacle qui empêche de voir.