« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Porte » : différence entre les versions

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Si nous abandonnons cet art gothique primitif, et si nous pénétrons
dans ses dérivés, vers la seconde moitié du XIII<sup>e</sup> siècle, nous pourrons
trouver encore bien des exemples de portes à recueillir.<span id=Beaulieu>
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[[Image:Porte.eglise.Beaulieu.png|center]]
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ni tympans; cette tradition est conservée pendant la période gothique
dans les mêmes provinces et dans les contrées qui subissent l'influence
de ces écoles. C'est ainsi que nous voyons, à l'abbaye de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes B#Beaulieu|Beaulieu]] (Tarn-et-Garonne),
une église de la seconde moitié du XIII<sup>e</sup> siècle, dont les
portes sont encore dépourvues de linteaux et de tympans, comme l'est
celle de la Souterraine que nous avons tracée (fig. 61). L'une des
portes secondaires de l'église de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes B#Beaulieu|Beaulieu]] se fait remarquer en outre
par la belle et large ordonnance de son archivolte et la pureté de ses
proportions (fig. 80). La coupe A de cette porte fait voir que l'archivolte